Après la Nissan Micra, la Renault 5 électrique pourrait bientôt donner son châssis et son groupe motopropulseur à une autre petite auto de marque japonaise. Celle qui appartient à Nissan et qui travaille déjà beaucoup avec Renault sur ses modèles européens : Mitsubishi.
Réunis ce jeudi au Luxembourg, les ministres des transports des 27 États membres, ne pourront éluder les discussions autour du futur de l'industrie automobile européenne et de la fin des moteurs thermiques en 2035. Entre environnement et compétitivité, l'équilibre se fait moins vert. Mais quel nouveau cap suivre ?
En examinant la situation internationale, le Japonais a décidé d'abandonner son objectif de 30 % de voitures électriques d'ici 2030. L'économie ainsi réalisée pourrait atteindre plus de 19 milliards d'euros.
L’inédite version électrique du vénérable 4x4 allemand se vend sept fois moins que ses déclinaisons thermiques. Mercedes-Bens s’en inquiète et pourrait revoir ses plans au sujet de son futur petit frère en conséquence.
La gamme de l'électrique du losange s'enrichit d'un modèle plus accessible. Mais à ce tarif, elle dispose de 40 kWh, de 95 ch et néglige la recharge DC. Une offre intéressante pour un usage seulement quotidien et une recharge domestique.
Renault profite du tournoi de tennis éponyme pour lancer la série spéciale « Roland Garros » de sa citadine électrique star, la R5 E-Tech. Au programme, une présentation intérieure et extérieure spécifique, et un tarif encore plus ambitieux. Alors faut-il saisir la balle au bond ? Voyons cela.
Non prévue dans le plan produit des futurs modèles de la marque, une invitée surprise pourrait rejoindre la gamme à partir de 2028.
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Selon une enquête réalisée par l'Ifop pour La Centrale, la baisse des prix des voitures électriques, et leur alignement sur les thermiques, ne suffirait pas à convaincre les consommateurs. Ils restent majoritairement attachés aux autos à pétrole.
La marque allemande veut attirer du monde dans ses showrooms et convaincre davantage de clients à acheter ses deux SUV électriques. Comment ? En renforçant la dotation en équipement de l’entrée de gamme.
Prix élevés et autonomie en demi-teinte handicapent le Toyota BZ4X depuis son lancement. Seulement, il vient d’abaisser ses tarifs et a bénéficié d’une mise à jour qui en corrige certains défauts. Disponible dès 34 800 €, fait-il les affaires d’une famille moyenne préoccupée d’écologie ?
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