Les voitures électrifiées progressent doucement mais sûrement. Les hybrides atteignent les 5 % de part de marché. Du côté des électriques, il y a une belle envolée des immatriculations.
Dacia est parvenu à placer deux modèles dans le Top 100 des ventes en France en 2018, mais les modèles "essentiels" du groupe Renault ne connaissent pas uniquement la popularité en France. En Espagne, ou encore en Russie, Duster et Sandero s'illustrent.
La firme de Sant'Agata Bolognese souhaite se développer sans devenir trop diffusée. Lamborghini prévoit de rester une marque exclusive en bloquant sa production à 10 000 exemplaires maximum par an.
Quelles voitures ont eu vos faveurs pendant la première moitié de l'année en France ? En préretraite, la Clio 4 a-t-elle gardé la tête ? Les SUV ont-ils bousculé le classement ? Réponses avec notre diaporama.
Le constructeur chinois Nio spécialiste des véhicules électriques affirme vouloir sa part du gâteau en Europe. Sa stratégie est simple : battre les références allemandes en Asie avant de se développer sur le vieux continent.
Après une première période visiblement couronnée de succès, Seat décline l'offre de location longue durée sans engagement à tous les SUV du catalogue. L'Arona, l'Ateca et le Tarraco sont donc désormais éligibles à l'offre, avec pour seule condition un kilométrage maximal.
Après un premier trimestre compliqué, Tesla annonce que le deuxième trimestre se clôt sur un record de livraisons mondiales. Ce sont donc 95 200 autos qui ont rejoint les garages de leur premier propriétaire. Et c'est rassurant pour la marque.
Le temps défile ! C'est déjà le moment de faire un bilan du marché automobile français pour la première moitié de l'année. On commence par les résultats des marques, avec comme toujours des fortunes diverses. Si Citroën, Mercedes et Seat ont le sourire, Renault, Ford et Alfa Romeo font grise mine.
Pour Polestar, la division sport de Volvo qui est désormais une marque à part entière, la vision est à long terme. La rentabilité ne devrait pas arriver avant 5 à 7 ans, et Polestar espère à cette date produire au moins 100 000 véhicules par an.
Le Dieselgate n'est pas terminé pour tous les constructeurs et surtout pour le groupe Daimler qui a revu ses résultats à la baisse en invoquant des coûts supplémentaires liés au dieselgate. Les mesures pour adapter ses véhicules diesel approcherait le milliard d'euros.
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