
Les actions conjuguées d'une déprime persistante de notre marché automobile consciencieusement laminé par d'énergiques politiques anti-voiture et d'un marché automobile anglais passionné résistant bien à la crise font que d'ici peu, nos voisins d'Outre-Manche achèteront bientôt plus d'automobiles que nous. Et ils deviendront ainsi le deuxième plus gros marché européen derrière celui de nos autres voisins d'Outre-Rhin, pour qui la voiture signifie encore quelque chose de valorisant et de plaisant.