Les breaks n'ont jamais été la tasse de thé des Américains, qui leur ont toujours préféré le pick-up et les SUV. Le marché nord-américain réserve toutefois une particularité bien propre à cette zone du globe : près de 85 % des ventes de breaks aux USA se font sur un seul et unique modèle.
L'urbanisation à outrance, les restrictions de circulation, les projets de bannissements des voitures des centres-villes dans le futur ou encore le marché auto instable, autant de raisons de penser que la vente automobile ne sera plus la seule corde à l'arc des constructeurs dans le futur. Et Porsche y pense déjà.
Volkswagen avait prévu d'investir 1,5 milliard d'euros en Turquie pour la construction d'une usine qui emploierait 4000 personnes. Après la déclaration de guerre de la Turquie aux Kurdes, le groupe allemand a finalement décidé de se raviser, et de réfléchir à sa décision. La Roumanie ou la Bulgarie entrent à nouveau en jeu.
Les chiffres d'immatriculations de voitures au niveau européen sont extraordinairement bons pour le mois de septembre. Pensez, avec + 14,5 %, on pourrait penser à une performance fulgurante. Mais on se compare à un mois de septembre 2018 plombé par l'effet de la nouvelle norme WLTP. Du coup les performances de Volkswagen ou Renault sont à relativiser largement.
D'après une étude du cabinet de conseil Accenture, la voiture électrique va créer un niveau système économique dont le potentiel est estimé à 200 milliards d'euros, rien que pour la France.
Bloomberg annonçait ce week-end que l'avenir de Lamborghini pourrait prendre deux formes : une vente par le groupe Volkswagen, ou une introduction en Bourse comme cela a été fait pour le rival Ferrari. Le groupe Volkswagen a démenti, hier, les deux rumeurs.
Volkswagen a trouvé une solution "temporaire" pour faire face aux éventuelles taxes d'import qui seront mises en place au Royaume-Uni en cas de Brexit sans accord. La marque a prévu le coup et entrepose en effet de grandes quantités de véhicules sur place pour avoir du stock disponible.
Le CNPA (conseil national des professionnels de l'automobile) a demandé au secrétaire d'Etat chargé des Transports de reporter la phase "WLTP" du malus au 1er janvier 2021, pour éviter une situation bien trop complexe avec deux malus en 2020. Malheureusement, l'amendement a été retoqué par le rapporteur du projet de loi des finances.
Quels sont les constructeurs qui souffriront le plus du malus mis en place le 1er janvier prochain en France ? Selon un cabinet d'étude, il s'agit de Porsche, Alfa Romeo, mais aussi Mazda, Jeep ou encore Fiat et Ford.
Selon Der Spiegel, BMW aurait interdit à ses concessionnaires de proposer le kit de mise à jour des moteurs diesels jugés trop polluants pour leur donner une "seconde vie" face aux restrictions de circulation. Du coup, ce sont les ateliers Mercedes qui en profitent.
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