La semaine dernière, les députés ont fait un pas vers la fin des véhicules thermiques en France en 2040. Une décision qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques pour l’emploi selon le syndicat Force Ouvrière.
Ford, qui cherche à réduire ses coûts, a confirmé que les effectifs mondiaux allaient être réduits de 7000 postes. Un tiers concerne les Etats-Unis, et le reste pour l'Europe et les autres marchés mondiaux, qui en sauront plus d'ici cet été. Ce sont surtout les cadres et salariés des bureaux qui seraient concernés.
Les auto-écoles, les taxis et les ambulanciers ont manifesté aujourd’hui leur mécontentement à travers plusieurs opérations escargot dans la capitale. A 10 h, plus de 430 km de bouchons ont été comptabilisés en îles de France. Les syndicats protestent contre la loi mobilité et la réforme à venir du permis de conduire.
Les accidents de la route sont la première cause de mortalité au travail. Pour autant, seul un faible nombre de dirigeants d’entreprise reconnaissent mettre en œuvre des actions de prévention.
D'ici la fin de cette année, un millier d'emplois seront supprimés à l'usine PSA de Mulhouse, à cause de l'arrêt de la production du 2008. La seconde génération du SUV urbain sera fabriquée en Espagne.
La voiture reste le transport préféré des Français pour se rendre au travail. Près de 65% d’entre eux l’utilisent quotidiennement avec un temps de trajet moyen de 30 minutes. Plus inattendu, un français sur quatre est prêt à baisser son salaire pour se rapprocher de son lieu de travail.
Ford prévoit de supprimer 5 000 emplois en Allemagne pour augmenter sa profitabilité et compenser ses importantes pertes en 2018 sur le Vieux Continent.
Volkswagen a annoncé avoir revu à la hausse les investissements pour le développement des électriques, à hauteur de 19 milliards d'euros entre 2019 et 2023. Pour supporter ces investissements, le groupe allemand va supprimer 4000 à 7000 postes dans le même temps, principalement après des départs en retraite.
PSA souhaite améliorer l'économie circulaire et le traitement et la réfection de pièces usagées. Conséquence de cette nouvelle stratégie : l'usine d'Hérimoncourt, trop peu compétitive, va être fermée. Les 200 salariés seront reclassés dans les autres sites de la région.
En ces temps incertains, faut-il réparer ou remplacer les radars fixes ? Détestés et vulnérables, ont-ils encore un avenir en dehors des villes ? La réponse est dans la question… Et aussi dans l'avènement du contrôle mobile.
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