
C’est une affaire qui concerne des airbags et qui ne se dégonfle pas. Ceux-là sont fabriqués par une enseigne japonaise Takata tellement présent dans le processus industriel des constructeurs automobiles qu’elle oblige ces derniers à des campagnes de rappels massifs et coûteux. Des victimes qui réfléchissent pourtant à sauver économiquement leur bourreau qui croule sous les procédures judiciaires. Mais comment a-t-on pu en arriver là ? Les chercheurs d’un comité indépendant répondent.