
Croire ou conduire, il faut choisir. Pour peu, c'est le slogan que l'on serait amené à décliner pour une certaine religion où prendre le volant n'a rien d'anodin. Parfois ça finit en drame. Surtout lorsque l'on est Saoudienne. Loujain Hathloul et Maysa al-Amoudi avaient décidé de conduire. Les voilà renvoyées devant un tribunal spécialisé dans le terrorisme. Pourtant, l'interdiction faite aux femmes de conduire n'est contenue dans aucun texte islamique.