C’est une situation qui montre qu’à notre époque, il n’y a plus de repères ni de logiques. Mais seulement des opportunités, généralement au bénéfice d’initiés. Ainsi, les patrons de groupes automobiles historiques dont les usines sont peuplées de salariés sont plus souvent qu’à leur tour vilipendés ou cloués au pilori au simple énoncé de leur salaire. Mais voilà que l’on annonce au patron d’une marque Tesla sympathique, mais aux pertes colossales, une rémunération de 56 milliards de dollars, validée dans la liesse par les actionnaires. Incroyable ? Tout dépend de quoi on parle…