La blockchain, cette technologie informatique réputée inviolable, permettrait de sécuriser bien des échanges dans le domaine de l'automobile, toujours plus connecté. Justement, Renault, BMW, General Motors et Ford annoncent une collaboration de recherche dans le domaine. Notamment pour préparer la voiture autonome.
La magie de l'électrique gagne l'automobile mais pourrait ne pas se cantonner aux "simples" motorisations. Bosch annonce en effet que nous pourrions voir débarquer dès la prochaine décennie, les premiers freins à commande électrique.
On n'arrête pas le progrès, et surtout pas dans l'automobile. Ford dévoile justement son travail sur un type de vitrage très particulier, qui retranscrit sous forme de retour tactile le paysage de manière à ce que les non-voyants puissent eux aussi, à leur manière, profiter de ce qu'il y a dehors.
Bosch teste un véhicule qui rejette 10 fois moins d'oxydes d'azote que ne l'exigera la norme en 2020, date à laquelle la technologie sera prête.
L'an dernier, Ford et l'équipementier Magna présentaient un inédit berceau moteur fait de carbone. Les avantages de cette partie vitale de l'auto sont nombreux lorsque l'on fait appel au carbone, et plusieurs mois après la présentation, Magna et Ford évaluent la possibilité de produire un tel élément.
Le V2V (véhicule à véhicule) et V2X (véhicule à infrastructure) sont des appellations que nous allons croiser de plus en plus souvent dans le futur. Justement, Toyota annonce qu'il va commercialiser d'ici deux ans des véhicules capables de communiquer entre eux. Un premier pas vers la conduite autonome.
Ceux qui attendent la voiture autonome mettent toujours en avant la même raison : le gain de temps au volant, afin de faire autre chose. Lire, manger, travailler et même dormir derrière le volant pendant que la machine fait son travail. Mais si la législation interdit de se distraire, à quoi bon laisser l'informatique jouer son rôle ?
BMW nous explique que nous sommes à un moment clé de l'histoire de l'automobile avec un tournant vers les nouvelles technologies et la conduite autonome. Pour y parvenir, la marque originaire de Munich annonce la création d'un campus dédié au développement de ce qui fait pour l'instant débat.
Les contours de la loi autorisant les tests des voitures autonomes en France commencent à se dévoiler. La législation prévoit en effet que le conducteur sera exonéré de toute responsabilité en cas d'accident. Ce sera le titulaire de l'expérimentation qui endossera cette responsabilité.
La semaine dernière, Emmanuel Macron annonçait un grand plan d'investissement pour l'intelligence artificielle en France. Le président espère faire du pays un leader en la matière. Dans la foulée, de grands groupes internationaux ont annoncé la création d'un pôle baptisé "Prairie" à Paris, visant à concentrer les connaissances pour faire avancer l'IA. PSA fait partie de l'aventure.
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