Toute l'actualité Loisirs

Jeudi soir, le groupe Fiat a inauguré un nouvel espace à proximité des Champs-Elysées, à Paris.

Les 24 Heures du Mans sont un monument. Elles méritent bien leur encyclopédie. D’ailleurs le projet existe. Mais sa date de sortie est quelque peu repoussée.

Auto Ride, c'est à l'origine un magazine bien barré apparu dans les kiosques voilà quelques années et malheureusement disparu trop tôt (de ces derniers). En fait, Auto Ride n'est pas mort et a survécu sur un modèle gratuit et local autour de Nice, leur patrie. Aujourd'hui, sortons d'Hambourg et enfermons les trompettes, les 2 furieux d'Auto Ride sont de retour en kiosque. Pas partout mais ça ne saurait durer.

Dévoilée lors du salon de Londres 1952 l’Austin Healey 100 connaîtra un tel succès qu’elle achèvera sa carrière en 1967 sous le nom de 3000 MkIII après avoir été produite à plus de 71.500 exemplaires.

Le nouveau pick-up 4x4 de VW, l’Amarok (qui veut dire loup dans la langue des Inuits) va venir se mesurer aux Mitsubishi L200, Nissan Navara et autres Ssangyong Actyon Sport.

Le saviez-vous ? La Hansa 2400 fastback lancée en 1952 présentait la particularité d’être dotée de quatre portières « suicides » s’ouvrant de l’avant vers l’arrière.

Les vacances d'été se profilent désormais à l'horizon : vous serez nombreux à vous rendre dans la région Languedoc-Roussillon pour profiter du soleil et de la mer. Les belles balades dépaysantes vous tendent les bras après quelques mois de boulot intense !

Le saviez-vous ? La Triumph Herald était une voiture quasi aussi démontable que la 2cv Citroën grâce à sa structure composée d’un cadre à caisson sur lequel était fixée la carrosserie. De toute la partie avant, ailes comprises, basculait vers l’avant pour donner accès au moteur.

Nouvel épisode de 5th Gear (avec un peu de retard) alors que Top Gear reprend aussi ! Nous avons donc maintenant droit deux fois par semaine à une leçon britannique de reportage automobile.

Loin de moi la volonté de faire l'apologie de la vitesse en voiture de sport. Cette citation est extraite d'une chanson signée Jean-Louis Murat intitulée Paradis perdus de l'album Cheyenne autumn de 1989.