Avec un nom comme Douglas, on ne peut que porter de l'intérêt au monde de l'aviation et même si le prénom de Ian est différent de McDonnell, la tendance n'a pas manqué de se vérifier chez ce Canadien un peu déjanté, qui voue tout autant une réelle passion pour la moto.
Deus Ex Machina est une enseigne australienne qui s'est donnée pour raison d'être de transformer et de créer à partir de machines modernes, des motos qui prolongent une philosophie et une esthétique du brêlon nées dans les années 40.
Du coup de crayon du dessinateur P'tit Luc, Roof propose un jet au style plus que différent. Casque atypique, le Roof Rat's prend son inspiration outre atlantique chez les footballeurs ricains pour équiper les motards français en mal d'originalité.
Si le Café Racer inspire beaucoup nos sorciers qui, de par le monde, s'ingénient à montrer aux constructeurs que leurs modèles sont loin d'être des produits finis, le style Scrambler a aussi toute sa légitimité dans cette démarche consistant à nous proposer des machines uniques et épurées.
Voici de la bel ouvrage réalisé en l'honneur d'une Norton Triton sur laquelle quelques Français de talent ont laissé courir leur imagination. Plus qu'une interprétation de l'œuvre de base, nos Gaulois l'ont conjugué avec d'autres items pour mieux exacerber un côté dépouillé intemporel.
Regardez bien cet engin, il pourrait bien enter dans l'histoire du deux roues comme le premier produit hybride à succès. Un moteur thermique de 70 cm3 associé à des batteries qui lui donnent une valeur de couple équivalente à un 120cc tout en le propulsant à 65 km/h, voici la recette de l'Eko ET-120, capable de consommer 0,84 l au cent.
Encore trop marginalisé sur notre territoire, PGO s'affirme pourtant comme la troisième force asiatique avec Sym et Kymco. Le constructeur taiwanais jouit d'un SAV costaud avec environ 300 distributeurs. Ancré à la 22è place sur le marché, PGO a réagit avec l'élargissement de son champ d'action grâce à la signature d'un partenariat avec les centres Norauto.
La fée électricité a semble-t-il bel et bien jeté son sort sur un univers de la moto qui espère ainsi avoir trouvé le fil conducteur qui lui assurera un développement durable. Pour autant, cette nouvelle donne condamne-t-elle les futures carrosses à n'être que de tristes citrouilles ?
Jusque là, Harley-Davidson a traversé les âges en capitalisant sur une philosophie et un style dont la sédimentation a livré une culture à part entière avec ses codes et ses repères. Une recette qui n'a pas trop mal réussi à un constructeur plus que centenaire qui affronte actuellement la crise comme les autres blasons pris dans la tourmente.
Le préparateur américain « Roland Sand Design » s'est penché sur le cas du Sportster de la vielle dame de Milwaukee pour l'encanailler encore quelque peu, jusqu'à lui donner une nouvelle jeunesse.
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