
Le Moto GP est à la croisée des chemins. Discipline intronisée élite de la vitesse moto, elle a entretenu son statut en attirant les constructeurs. Au point de s'en remettre entre leurs mains. Puis la crise économique s'est durablement installée. Une conjoncture qui a été un cruel indicateur sur l'étendue de leur fidélité.