Le Renault Mascott est un véhicule qui, malgré certaines similitudes avec le Master, est bien à part. C’est un camion à châssis séparé, deux essieux rigides et roues arrière jumelées. Du Master traction, il ne reprend en fait que la cabine.
Le Renault Maxity n’est autre que le Nissan Cabstar rebadgé. Il vient compléter la gamme Mascott par le haut. Le Maxity a l’avantage de disposer d’une véritable architecture de camion. De ce fait il est capable de recevoir une charge utile élevée. Le Maxity est disponible en simple cabine avec moteur de 110 ch, sur un empattement de 2500 mm. Cette motorisation passe en 130 ch avec un empattement de 2900 mm, tandis qu’en cabine approfondie, l’empattement passe à 3400 mm avec le même bloc et la même puissance. Ces modèles sont complétés avec une gamme plateau (3 empattements) et benne (1 empattement, de 2500 mm).
Le Nissan Cabstar a bénéficié d’une cure de jouvence voici un an, qui a principalement touché sa suspension avant, laquelle est depuis équipée de roues indépendantes avec ressorts transversaux, sans oublier une direction à crémaillère, plus précise que l’ancien modèle à leviers. La cabine du Cabstar a gagné 15 cm en profondeur et une nouvelle planche de bord. Au final Nissan revendique un espace intérieur amélioré de 10 % pour une augmentation de volume extérieur de 4 %. Ce résultat a été obtenu par déplacement de la prise d’air et de son filtre vers le bas du châssis. Ces améliorations ont permis de parfaire le confort global du Cabstar, mais également de le rendre utilisable pour les conducteurs de grande taille. On note également l’apparition de rangements aussi nombreux que généreux.
C'était injuste. Comme nous vous avons présenté la Nissan Cube de nouvelle génération, passer sous silence l'Alto Lapin eut été vraiment un sale coup (de lapin).
Le Nissan Alteon est quasi un classique sur notre chaîne VU. Revenons aujourd’hui sur lui à l’occasion de notre copieuse liste de fiches techniques consacrée aux VUL et autres « petits camions »…
En dépit de son nom typiquement japonais, le Canter est commercialisé dans le réseau camions de Mercedes Benz. Ce camion est décliné en 4 tonnages (3,5 ; 5,5 ; 6,5 et 7,5 t), deux cabines simples et deux cabines doubles en deux largeurs (1995 et 1695 mm dans les deux configurations) et quatre empattements (2500, 2950 et 3350 mm).
L’Isuzu Série N en PTAC de 3,5 tonnes est un camion particulièrement robuste. Deux versions sont déclinées, le NKR et le NPR, ce dernier étant un 5 tonnes détaré, disponible en cabine large sur les versions chantier. Le NKRs, modèle de base, est quant à lui le seul de toute la gamme à posséder à la fois de roues simples à l’arrière et un empattement court.
Vous n'avez pas vraiment apprécié la tonalité élitiste de la première pub à la gloire de l'IQ ? C'est compréhensible.
Le Toyota Hilux a été remis au goût du jour en 2007. Deux motorisations sont possibles, le TD 120 et le TD 171 ch. Le premier bloc est plus adapté à une utilisation mixte tourisme/utilitaire. Ce n’est pas un foudre de puissance, mais il est extrêmement souple, et même en 171 ch, sa capacité à reprendre dès les plus bas régimes et sans à coups est surprenante. En revanche, sur route, l’absence d’un sixième rapport se fait sentir. La direction, assistée électroniquement, est d’une grande précision pour ce type de véhicule.
Le Santana PS-10 est un lointain dérivé du Land Rover, puisque Santana a travaillé pour la marque britannique jusqu’en 1983. Le PS-10 est assez différent du Land, avec une motorisation assurée par le bloc Iveco 2.8 TDi de 125 ch. Ce bloc, souple et coupleux, ne manque pas de coffre et s’avère être un vrai bonheur à la fois sur route et en tout terrain. C’est l’une de ses principales qualités, avec sa garde au sol de 210 mm. Du PS-10 on peut dire que tout est conçu de manière robuste et fiable. Les points faibles portent sur les finitions, avec des plastiques de piètre qualité au niveau de la planche de bord.
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