Dans notre rubrique En direct des tribunaux, nous recueillons les témoignages de conducteurs, venus au tribunal se défendre seuls ou avec leur avocat, à la sortie des audiences. Notre cas du jour concerne encore un véhicule flashé en excès de vitesse... Sauf que la cabine en question a mal été référencée dans le système du contrôle-sanction automatisé (CSA) ! En clair, jusqu'au 4 février 2011, date à laquelle l'administration a fait le nécessaire pour réparer son erreur, tous les PV issus de ce radar sont entachés de nullité ! Maintenant il fallait les contester pour espérer être relaxé, comme le client de Maître Tichit... Suite à sa plaidoirie devant la juridiction de Proximité, on retrouve cette avocate, à l'origine de la découverte de cette faille, pour recueillir ses précisions.
On le sait, les futurs taxis de New York seront japonais… puisque Nissan a remporté un appel d’offre lancé par la mairie de la ville.
Les préfectures étaient invitées par le ministère de l'Intérieur à faire remonter toutes les zones accidentogènes de leur département avant le 21 octobre 2011. Données qui devaient être transmises aux fabricants d'avertisseurs de radars, désormais baptisés assistants d'aide à la conduite, rassemblés au sein de l'AFFTAC... Des infos que ces derniers attendent toujours, selon les déclarations de Fabien Pierlot, le PDG de Coyote, ce mercredi matin.
Quand on est en train de passer son examen de code de la route, on révise beaucoup et on cherche par tous les moyens à mettre un maximum de chances de son côté. Dans l'étendue des possibilités existantes, on trouve des logiciels pour smartphone qui vous font réviser et passer des examens blancs. Code de la route deluxe 2012 fait partie de cette catégorie. Mais est il utile pour passer l'examen ? Vaut-il ses 5 €* ? Nous avons essayé le logiciel et voilà nos conclusions.
Dans notre rubrique En direct des tribunaux, nous recueillons les témoignages de conducteurs, venus au tribunal se défendre seuls ou avec leur avocat, à la sortie des audiences. Le cas du jour : Un propriétaire d'une moto flashée par un radar automatique à pas moins de 45km/h au-dessus de la vitesse autorisée conteste, comme souvent en pareil cas, en avoir été le conducteur au moment des faits. Mais pour une fois, en plus de clamer son innocence, il est à même d'apporter des éléments probants permettant de valider sa version des faits ! Alors ? La magistrate qui présidait l'audience de la juridiction de Proximité devant laquelle il a été cité à comparaître pour s'expliquer suite à sa contestation, a mis en délibéré son jugement, afin sans doute d'avoir tout le temps nécessaire pour prendre une décision juste et conforme aux textes. Et nous étions bien présents à l'audience le jour qu'elle avait fixé pour donner son verdict...
Je ne sais pas vous mais moi j’ai noté comme une recrudescence de « poutrage » ces derniers temps.
Notre ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, à encore pensé à nous, automobilistes. Comme il considère que nombre d'entre nous contestons nos contraventions à tort et à travers (c'est sûr on n'a que ça à faire), il a décidé de ficher tous ceux qui décideraient de le faire. C'est donc sous sa plume qu'un nouvel arrêté, datant du 20 février et publié au journal officiel le 16 mars, entérine la création du fichier ARES, pour " Automatisation du registre des entrées et sorties des recours en matière de contravention".
Dans notre rubrique En direct des tribunaux, nous recueillons les témoignages de conducteurs, venus au tribunal se défendre seuls ou avec leur avocat, à la sortie des audiences. Le cas du jour : Des gendarmes relèvent un excès de vitesse conséquent (+63km/h). Mais, sur le PV, ils manquent singulièrement de précision quant au lieu de l'infraction relevé, et indiquent la Drire en tant que vérificateur du radar, alors qu'elle n'est plus habilitée à l'être depuis fin 2009-début 2010 ! « La procédure soulève indéniablement des questions d'ordre juridique », remarque ainsi l'avocat de l'automobiliste interpellé, Maître Olivier Descamps... Après avoir été lourdement condamné en première instance, son client peut se réjouir d'avoir fait appel.
Alors que les chiffres de ventes du mois de mars s’annoncent encore plus désastreux que les 2 premiers de 2012 pour les constructeurs français, une étude menée par un groupe de presse auprès de 208.000 lecteurs nous apprend que les marques hexagonales n’ont vraiment pas la côte auprès des amateurs et des propriétaires ! L'image de marque est plus que jamais cruciale sur le segment et nos constructeurs en manquent, c'est le moins qu'on puisse dire.
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