
Gorgée de caractère, la 75 a su perpétuer avec brio l’esprit Alfa dans les années 80, malgré une technologie déjà surannée. Un concentré de plaisir à mettre de côté tant qu’il reste accessible…
Gorgée de caractère, la 75 a su perpétuer avec brio l’esprit Alfa dans les années 80, malgré une technologie déjà surannée. Un concentré de plaisir à mettre de côté tant qu’il reste accessible…
, mis à jour 190
Pour son travail, elle passe la semaine en Peugeot 3008. Cela n'a pas empêché pas la jeune femme de s'offrir une autre auto pour les week-ends. Le choix de Marlène s'est porté sur un cabriolet allemand pour nombre de raisons, notamment la place à bord, le confort, le style et, surtout, un prix ultra-abordable.
En 1989, Peugeot relance avec sa 605 une attaque frontale contre les premiums allemands, BMW Série 5 en tête. Forte de 200 ch, la 605 SV 24 trouve en la 525i 24v une rivale de choix, et ne manque pas d’atouts contre elle. 30 ans plus tard, ces deux familiales youngtimer se dégottent à des prix similaires (entre 4 000 € et 6 000 €), alors laquelle choisir ?
Soyons honnêtes : cette voiture n’est pas laide, du moins dans sa version classique. La Laguna première du nom est même très réussie. Alors pourquoi l'avoir affublée d’une affreuse version break, avec un arrière collé sur la berline comme une greffe qui n’aurait pas pris ? Heureusement, elle offre une taille de coffre exemplaire et deux places supplémentaires.
Pour offrir un parfum très haut de gamme à sa Laguna de 3e génération, Renault en a tiré un coupé très fin mais pas totalement convaincant par sa ligne. Dommage, car le châssis est au top, et la qualité appréciable…
Pas tellement moins efficace que la S16 mais beaucoup plus abordable, la XSi permet de tirer le meilleur de la 306 sans se ruiner.
Dans les années quatre-vingt-dix, les berlines généralistes sont boudées. Les familles se tournent massivement vers les monospaces, quant aux accros des grandes voitures statutaires, dont le portefeuille le permet, ils n'ont d'yeux que pour les Allemandes. Alors, Ford tente la différence avec la seconde génération de la Scorpio. Mais le fait de se démarquer ne conduit pas forcément à la beauté.
Avec les années, la XJS a fini par réussir la mission impossible qui lui incombait : succéder à la mythique Type E. Pourtant, au départ, tous les vents étaient contre elle…
L'italienne est l'une des Ferrari les plus connues et les plus diffusées. Quant à la française, elle est la compacte traditionnelle qui a enfin, grâce à sa seconde génération, réussi à égaler en qualité l'indétrônable Volkswagen Golf. Des autos très différentes qui n'ont que deux choses en commun : leur nom et leur réussite.
De la moto à l'auto, de pilote à directeur de course, du sport mécanique à l'espace médiatique, Hubert Auriol est parti relativement tôt, à 68 ans.
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