
Toutes les voitures hybrides rechargeables du marché en 2025
Entre un chef du gouvernement qui propose d’encaisser l’argent des radars et un député de l'Ain qui appelle à ce que l’État mettre la main à la poche, on se doute quelle solution sera privilégiée lorsque, le 9 janvier, le conseil interministériel de sécurité routière (CISR) livrera ses conclusions. Mais la voix du vice-président du parti Les Républicains mérite que l’on s’y attarde. Sur France Info, le 5 janvier, il a ainsi déclaré : "il n’y a pas, malheureusement, de corrélation entre la réduction de la vitesse et le nombre de morts sur les routes. Ce que disent les pays qui l'ont appliquée le démontre très clairement. C'est une mesure qui ne répondra pas à l'objectif affiché et qui finalement sera vécue par une partie des Français comme une taxation supplémentaire".
Ceci étant dit, il aussi ses solutions pour la sécurité routière : « une des plus grandes causes d’accidentologie en France c’est le mauvais entretien des routes ou le manque d’investissement dans ces routes. Je crois que la sécurité routière c'est un enjeu prioritaire qui mérite qu'on l'accompagne, pas simplement par une mesurette, mais par un panel de réformes. Il faut que l'État finance et accompagne les collectivités locales dans un meilleur entretien des routes pour éviter les accidents". Un entretien qui ne passera sûrement pas par la pose des nouveaux panneaux de signalisation mentionnant 80 au lieu de 90. Une opération qu’il va falloir aussi budgétiser…
SPONSORISE
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Alerte de modération