Les rappels dans le monde de l’automobile font florès. A croire que les voitures actuelles sont moins fiables que par le passé, à moins que ce ne soit les exigences pour la sécurité qui s’exacerbent. La vérité se trouve sans doute au point moyen de ces chemins. Ces retours à l’atelier ne sont pas du seul fait des errements des constructeurs. Takata, qui leur a fourni ses airbags, en est la démonstration. Ce nom est même à associer au plus gros rappel de l’Histoire de l’automobile.

C'est l'épilogue de cet accrochage entre Valentino Rossi et Marc Márquez lors d'un Grand Prix de Malaisie qui a changé la physionomie de la saison 2015 du MotoGP. Et dont les conséquences se ressentitont sans aucune doute à l'occasion lors de la future campagne 2016.

Pas moins de 26 millions d'amendes ont été dressées par les forces de l'ordre aux usagers de la route en 2015. Un travail de sape qui a rapporté aux caisses de l'Etat 1,671 milliard d'euros. De quoi nous assurer des chaussées en bon état et une bonne sécurité routière ? Que nenni.

Les 250cc sont maintenant bien présentes dans les stratégies des constructeurs. Et les Japonais quia avaient laissé quelque peu ce terrain en friche en se contenant de l'occuper avec des modèles minimalistes se réveillent pour lancer leur offensive contre leurs homologues européens plus inspirés.

Il y a peu, on vous avait prévenu que les quarts de litre allaient faire florès. Pas question ici de bouteilles à la quantité minimisée pour être en phase le taux légal d'alcoolémie. Non. Il s'agit ici de cylindrée de motos qui vont se répandre sur la planète.

La Scrambler chez Ducati c'est le coup d'essai qui s'est transformé en coup de maître. Le modèle est même indépendant du reste de la gamme de Borgo Panigale, développe sa culuture et ses produits et fait un carton à la vente.

Du côté de Verone va s'ouvrir le 24 janvier prochain un Motor Bike Expo au cours duquel Ducati s'est apparemment juré de tenir la vedette. Par exemple, la marque de Borgo Panigale va nous traumatiser la rétine avec ce concept DraXter sur base de XDiavel.

L’automobiliste d’aujourd’hui veut que sa voiture soit connectée. Et demain, il confiera volontiers le volant à sa voiture en voie d’être autonome. Une tendance et un goût prononcé qui dépassent les aspirations d’antan abreuvées par une fiche technique à la puissance, à la courbe de couple et à la vitesse de pointe jadis soulignés en caractère gras. On en n’est déjà plus là. Certes, mais les puces savantes ne se dressent pas comme ça. On peut même les corrompre pour accomplir les choses les plus inavouables. Une récente vidéo de gens mal intentionnés l’a démontré. Une conjoncture, un choc des cultures qui inquiète la Gendarmerie Nationale. A tel point qu’en 2015, elle a créé l’Observatoire central des systèmes de transports intelligents (OCSTI). Objectif ? Sensibiliser les constructeurs et équipementiers automobiles aux dangers d’intrusion dans leur technologie embarquée.

Conduire une voiture sera peut-être demain aussi une question de génération. La réglementation a déjà identifié les jeunes conducteurs au moyen d’un logo « A » ostentatoire à l’arrière du véhicule. De l’autre côté de la pyramide des âges, certains ont pensé à coller un « S » statutaire au même endroit de l’automobile. Une lettre qui veut dire sénior. Mais si les jeunes conjuguent leur « A » avec des dispositions particulières au code de la route, le « S » lui ne sera en rien contraignant pour nos aînés. Il ne faudrait pas non lui ouvrir la boîte de Pandore !

Il y avait de l'eau dans le gaz depuis un certain Grand Prix de Malaisie. L'épilogue de la saison 2015 du MotoGP n'a rien arrangé à leurs relations. Et, depuis cet hiver, leur bisbille n'a pas vraiment connu de trêves par réseaux et fans interposés. Bref, entre Valentino Rossi et Marc Márquez, les ponts semblent définitivement rompus.