
Il n'y a rien eu à faire contre un Nico Terol qui a pris, dès le départ donné, la poudre d'escampette pour s'accorder avant la mi-course consommée une dizaine de secondes d'avance qu'il a ensuite tranquillement géré. A vouloir obstinément, et logiquement, le contrer, les autres se sont usés, à commencer par notre Johann Zarco qui a sombré à un peu moins de dix tours du but.