C'est peu fréquent de voir des séries spéciales sur des véhicules de niche et plutôt confidentiels comme l'Alfa Romeo 4C. Le coupé italien reçoit tout de même une série baptisée Edizione et limitée à 67 exemplaires, en hommage à l'Alfa Romeo 33 Stradale de 1967. Le tarif est de 67 500 €.
La marque milanaise revient de loin, mais 2017 signe son renouveau avec une hausse des ventes de 62 %. Mais ce n'est pas suffisant pour son PDG, tiraillé par ses créanciers. D'autant qu'en parallèle, Maserati touche le fond et stoppe momentanément sa production. Chronique d'un succès un peu amer.
Alfa Romeo jubile en regardant ses chiffres de vente aux États-Unis. Parti du groupe Fiat Chrysler Automobiles, le blason au biscione est revenu dans la contrée de l’Oncle Sam en 2016 avec de solides espoirs. Un risque qui s’est avéré payant puisque la marque italienne annonce fièrement avoir écoulé 12 031 véhicules. Une performance à rapprocher au précédent record dans le Nouveau Monde qui remontait à 1986 avec 8 021 voitures écoulées. Tout ça avec deux modèles, dont un arrivé au milieu de 2017 alors qu’en 2016, seulement 528 voitures avaient trouvé preneur !
Avec le déploiement commercial total de la Giulia et l'arrivée du Stelvio au catalogue, c'est tout sauf une surprise : la production d'Alfa Romeo a explosé en 2017, signe que le retour du premium est tout de même bénéfique. Il reste maintenant à concrétiser, ce qui sera probablement le plus difficile pour la marque italienne.
La Giulietta a eu droit à quelques mises à jour depuis son lancement en 2010, seulement voilà, la compacte accuse sérieusement le poids des ans chez Alfa Romeo qui prépare, heureusement, la relève. La marque italienne semble d'ailleurs indiquer qu'elle envisagerait de reprendre la plateforme de la Giulia. Ce qui indiquerait que la prochaine Giulietta serait une propulsion.
Avoir des disques efficaces et des étriers performants sont des qualités bien utiles pour se prévaloir d’une excellence dans les phases de freinage. De ce côté-là, le constructeur Alfa Romeo s’est donné les moyens de ses ambitions, lais tout ça n’est rien si l’intendance ne suit pas. En l’occurrence, celle-ci est ici assurée par les fluides et c’est justement un problème de liquide qui ralentit les carrières des Stelvio et autres Giulia aux États-Unis.
Alfa Romeo s’est donc lui aussi lancé dans le segment des SUV avec une déclinaison Stelvio qui peut déjà se targuer d’une petite côte d’estime. Il va cependant falloir faire plus pour franchir le pas et devenir l’opportunité à envisager pour faire sa trace dans ce milieu déjà particulièrement fourni. Peut-être qu’une apparition en compétition dans l’incontournable épreuve du Dakar lui permettrait de faire mordre la poussière à la concurrence ? Avec cette vision d’esprit de l’enseigne LP Design, on se dit que la démarche aurait du sens…
La relance d'Alfa Romeo dans le premium s'est faite avec la berline Giulia et le SUV Stelvio. La marque doit désormais préparer l'avenir avec de nouveaux produits pour ne pas lâcher un marché encore en croissance, notamment en Europe. Il se murmure ainsi qu'un grand SUV placé au-dessus du Stelvio serait dans les cartons.
Les nouveautés ont été nombreuses cette année. Et à chaque essai, les journalistes de Caradisiac ont mis un point d'honneur à faire preuve de la plus parfaite objectivité. Mais cette fois, c'est avec liberté qu'ils nous livrent chacun leur essai préféré… et l'autre, celui qu'ils n'ont vraiment pas aimé.
Peu connue par chez nous, la marque Mopar est pourtant mythique outre-Atlantique. Depuis la reprise de Chrysler par Fiat, Mopar a changé de visage et s'occupe principalement de pièces d'après-vente pour l'ensemble du groupe italo-américain. Et la division débarque justement en France avec un service de location d'équipements pour les autos italiennes.
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