Elle n'est plus à proprement parler une nouveauté, certes. Mais la Dacia Sandero est un modèle incontournable du marché français. C'est même le modèle le plus vendu aux particuliers, depuis plusieurs années. Le Mondial de Paris 2022 est l'occasion de revenir sur cette star.
La Dacia Spring présentée au Mondial de l'automobile de Paris 2022 profite de quelques améliorations par rapport au modèle lancé sur le marché l'année dernière. La petite électrique se négocie désormais à partir de 19 800€ avant bonus écologique.
Comme depuis de nombreuses années ce salon fait la part belle aux SUV. Heureusement pour tous ceux qui sont allergiques à ce type de véhicules, il existe d'autres choses à voir. Voici une sélection des modèles à ne pas manquer pour les anti-SUV.
Dacia profite du Mondial de l'automobile pour présenter la nouvelle gamme Duster, dernière ligne droite avant l’arrivée d’un tout nouveau modèle l’année prochaine. Au menu : quelques retouches esthétiques à l'extérieur comme à l'intérieur et des niveaux de finitions rebaptisés, l'objectif étant de rappeler les qualités intrinsèques du modèle, que nous allons vous lister.
À l'aube de son remplacement, le Duster de deuxième génération profite d'une série limitée Mat Edition qui, comme son nom l'indique, se couvre d'un vernis qui ne brille pas. Une livrée qui ne concerne que la version haut de gamme 1.3 TCe à boîte automatique EDC et qu'on ne pourra commander que sur internet…
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Les concept-cars Dacia sont rares, et c'est une raison supplémentaire de nous intéresser au Manifesto qui trône en vedette sur le stand de la marque au Mondial de l'automobile.
Au Mondial de l'Auto 2022, le nouveau Dacia Jogger hybride ne montre que son groupe motopropulseur. Mais la bonne nouvelle, c'est que ce gros crossover familial de 140 chevaux devrait coûter moins de 23 000€ en prix de base.
Le premier modèle hybride de Dacia développera 140 chevaux et coûtera sensiblement plus cher que les versions thermiques du Jogger.
Les ventes de véhicules de seconde main ont baissé de près de 15 %, passant ainsi largement sous la barre du demi-million.
Les patrons de Renault et de Stellantis se sont rencontrés à l’initiative de nos confrères du Parisien. L’occasion pour les deux hommes, très souvent sur la même longueur d’onde, de fustiger la bascule programmée vers le tout électrique, tout en l’acceptant. Un paradoxe ou une fatalité ?
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