Certains exemplaires des variantes hybrides rechargeables sont sujets à un risque d’incendie.
La division premium du groupe Stellantis viendra au mondial de Paris 2022 avec de nombreuses nouveautés : ses DS 3 et DS 7 restylés mais aussi une DS 4 légèrement améliorée et une limousine DS 9 plus luxueuse que jamais. Et quelques surprises.
Route de nuit
Le 23 octobre, un vent de folie promet de souffler sur cette vente organisée au musée de l'Aventure Peugeot Citroën DS.
Les ventes de véhicules de seconde main ont baissé de près de 15 %, passant ainsi largement sous la barre du demi-million.
La DS 4 peut désormais rouler 62 kilomètres en mode électrique et gagne une nouvelle finition haut de gamme Opéra, proposée à partir de 47 450€ et jusqu'à 55 700€. Les prix de la gamme augmentent aussi.
Billet d'humeur
Les patrons de Renault et de Stellantis se sont rencontrés à l’initiative de nos confrères du Parisien. L’occasion pour les deux hommes, très souvent sur la même longueur d’onde, de fustiger la bascule programmée vers le tout électrique, tout en l’acceptant. Un paradoxe ou une fatalité ?
Le nouveau DS 3 (qu'il ne faudra plus appeler DS 3 Crossback) a été photographié dans la rue. L'occasion d'observer les différences de style par rapport au modèle actuel.
C'est le nouveau best-seller de DS en France. Elle devance en effet désormais le SUV DS 7. Du coup, avec des ventes correctes, elle arrive aussi désormais en nombre sur le marché de l'occasion récente. Le bon moment pour aller voir si de bonnes affaires sont possibles. Ce qui s'avère a priori compliqué...
D'après les chiffres de ventes dans le monde en 2021, Alfa Romeo, Maserati et DS ont encore beaucoup de chemin à parcourir pour se rapprocher des références du marché premium.
Billet d'humeur
La DS7, aussi blindée que présidentielle, était exposée, et présentée au public dans la cour de l'Élysée, puisque le palais était ouvert aux visiteurs à l'occasion de la journée du Patrimoine. Nous en avons profité, en exclusivité, pour nous glisser dans le coffre du SUV blindé et ne pas rater une miette des conversations d'Emmanuel Macron avec son chauffeur alors qu'ils se dirigeaient vers l'aérodrome de Villacoublay pour prendre un avion vers Londres et les funérailles d'Élizabeth II. Une pure fiction. Ou plutôt un voyage tout en politique-fiction.
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