
On pensait qu’avec la validation judiciaire d’un arrangement de l’ordre d’un milliard de dollars en guise d’amende avec une reconnaissance de culpabilité à la clé, on n’entendrait plus parler en mal de l’enseigne Takata. Sauf que l’on apprend que, parmi les victimes qui réclament toucher une partie de cette manne, on compte des protagonistes qui sont loin d’être des innocents. Car ils savaient et ont tout de même exposé leurs clients au dysfonctionnement des airbags japonais. Il s’agit des constructeurs automobiles.