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Souvenez-vous : au Mondial de l'automobile de Paris 2008, les grands constructeurs n'avaient présenté que des prototypes et concepts électriques. Des effets d'annonce, mais rien de vraiment concret.Deux ans après, la situation évolue. Le marché des véhicules électriques démarre enfin en France.Constructeurs français et japonais ouvrent même le bal écolo, dans un contexte assez propice.

A l'occasion de chaque salon, nous effectuons un classement des déceptions. Le Mondial de Paris 2010 n'est pas un grand cru pour les flops, mais nous avons tout de même trouvé quelques perles.

Bien à l'abri des regards, sous le stand Nissan se cache la radicale Nissan GT-R 2011. Dans cette livrée baptisée « Spec-M », la reine du Nurburgring, voit ses ratios augmenter de façon conséquente.

Restons dans le domaine de l’utile et sur les moquettes des salons. Après avoir relayé la rumeur voulant que Daimler (Mercedes) s’intéresse de (très) près à Iveco, posons la question suivante : le nouveau Renault Master, et sa belle gueule, aurait-il trouvé son maître ?

La Nissan GT-R, c'est un peu le 21 du jeu de tarot : peu importe contre qui vous l'opposez, que ce soit en ligne droite, dans le sinueux ou en gobage de flan, c'est toujours elle qui gagne. C'est encore plus vrai si le comparatif se passe au Japon.

Il paraît que la (le) Nissan Juke ne plaît pas à tout le monde. D’un point de vue stylistique. Pas si étonnant.

Le fabricant de filtration K&N reste une référence incontournable dans le domaine des admissions dynamiques. En effet si ces produits sont légèrement plus chers que ceux de la concurrence, ils offrent des prestations et une qualité de finition

Les puristes crieront probablement au scandale : « Quoi ? Comment ? Comment ont-ils osé ? Ces maudits américains ne respectent-ils donc rien ? ».

La Nissan GT-R aura provoqué pas mal de remous dans le monde de la voiture de sport. Ça risque de reprendre de plus belle dans les mois à venir, lorsque la nouvelle version sortira équipée d'un moteur un peu plus puissant et d'un châssis encore mieux réglé. Mais pour l'avenir à long terme, le changement pourrait être radical.

Carlos Ghosn, le patron de Renault et Nissan, aurait pu devenir celui de General Motors, le groupe américain numéro deux de l’industrie mondiale.