
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Reculade sur la date butoire de ventes de thermiques, interdiction d'importer du graphite chinois pour les batteries américaines alors que les autos de l'empire du milieu peuvent bénéficier d'une subvention si elles sont louées : la politique américaine est dans le flou artistique en matière de VE. Un sujet au centre des discussions d'ici l'élection du mois de novembre.
Cummins, le spécialiste du diesel équipant les pick-up de la marque Ram, a été pris la main dans le sac comme Volkswagen par les autorités américaines avec un dispositif servant à truquer les émissions polluantes. Comme pour les Allemands, l'amende a été très salée.
Après 7 semaines de conflit, un accord a été trouvé entre le syndicat UAW et les dirigeants de Ford et Stellantis. Mais la contagion guette : les hausses de 25% de salaires obtenus aux États-Unis ont poussé les ouvriers canadiens à demander la même chose. Comment réagissent les syndicats chez Stellantis en Europe ?
En signant un accord avec une émanation de l'ex-Areva, le groupe va pouvoir recycler ses batteries, et réutiliser 90% des éléments qu'elles contiennent. Une opération qui n'est pas seulement destinée à sauver la planète, mais aussi les approvisionnements des différentes marques de la galaxie franco-américano-italienne.
Un nouveau patron, une nouvelle entité, 12 modèles électriques à venir, un redéploiement du réseau et des ambitions démesurées : le groupe franco-américano-italien entend devenir le leader mondial des véhicules professionnels et s'en donne les moyens. Un challenge plutôt compliqué.
La grève entamée par les ouvriers de Detroit se poursuit depuis la mi-septembre. Les futurs candidats à la présidentielle s'en sont emparés et les marques dont les usines ne sont pas impactées profitent des déconvenues de GM Ford et Stellantis.
Une grève illimitée touche les trois groupes américains Stellantis, General Motors et Ford. Et si les clients européens ne risquent d'être que très peu touchés par les arrêts de production, les constructeurs, à l'instar du groupe dirigé par Carlos Tavares, pourraient bien perdre de l'argent, et voir leurs syndicats d'ici prendre exemple sur leurs collègues de là-bas.
Plusieurs milliers d’exemplaires du pick-up Jeep doivent repasser en atelier afin de procéder à une vérification.
La nouvelle est tombée dans la soirée : des milliers de postes seront supprimés chez Dodge, Ram, Chrysler et Jeep, les marques américaines du groupe Stellantis. Une décision qui intervient alors qu'en France, le même groupe annonce sa volonté de recruter 1 200 salariés.
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