
Le débat est lancé aux États-Unis sur fond de guerre d’influence au sein même de la chaîne de production du blason d’Elon Musk. Tesla est en effet le seul constructeur automobile présent sur le sol américain à ne pas avoir de syndicat et c’est à la demande de l’un d’eux, le United Auto Workers, qu’une étude a été lancée par une association de défense des salariés en Californie sur le taux d’accidents du travail au sein de la marque. Au bilan, un constat fort : ce taux a été supérieur de 31 % à la moyenne du secteur automobile en 2015.