Il n’y a pas que les pays émergents qui attirent les constructeurs automobiles. Être une nation déjà industrialisée, ce n’est pas être condamnée à l’obsolescence programmée. La preuve avec les États-Unis qui se remettent du traumatisme du déclin d’une ville de Detroit autrefois toute puissante dans le monde des voitures. Celui-ci prend racine ailleurs et notamment dans un Sud-Est qui se donne les moyens de séduire. Et qui, en plus, à une approche particulière du domaine social puisque les syndicats, jugés « néfastes » pour la prospérité par les responsables politiques, sont quasiment absents. Mazda et Toyota, comme d’autres, l’ont bien compris…