Par Anonyme
L’efficacité d’une voiture de course suppose un bon moteur, mais surtout un bon châssis et une bonne suspension. Les liaisons au sol comptent encore plus que la puissance intrinsèque. Ce principe s’est vérifié au fil de toute l’histoire de la course automobile dans toutes les disciplines. La F1 moderne ne fait pas mentir cette appréciation. L’Alfa Roméo Giulia TZ possédait tous les atouts d’une machine de course. Un ensemble châssis, suspension, liaisons au sol superbement élaboré. Et un moteur qui respirait la santé. L’arme de guerre parfaite entre les mains des gladiateurs de la piste !
Ce fut donc logiquement qu’au cous des années 60, l’Alfa Roméo Giulia TZ se construisit un sacré palmarès, tant sur les routes du Tour de Corse, de la Targa Florio et de la Coupe des Alpes que sur les pistes mythiques de Monza, du Mans ou du Nürburgring. De nombreux pilotes de tout premier plan s’engagèrent à son volant. Parmi cette longue liste figurent les noms de Lucien Bianchi, Nino Vaccarella, Lorenzo Bandini, Jean Rolland, Bernard Consten…