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Depuis la fin de la commercialisation de l'Elystar 125, il y a deux ans de cela, le segment des GT Compact était bien vide du coté de chez Peugeot Scooters.

Les conditions de piste nous ont livré une course échevelée dans ce Grand Prix d'Espagne 125 disputée à Jerez. Dans un premier temps, on a bien cru à une nouvelle chevauchée du vainqueur du Qatar, mais Hector Faubel, du haut de ses cent cinquante Grands Prix fêtés avec ce départ, est revenu à force d'opiniâtreté dans le sillage de son équipier.

Elle était annoncée, et elle n'a pas manqué son rendez-vous. La pluie a donc fait son apparition sur le tracé de Jerez pour mieux brouiller les cartes de cette édition du Grand Prix d'Espagne. Des conditions de piste inédites pour les pilotes qui n'ont connu jusque là qu'un soleil presque estival et quelques rafales de vent.

Il ne lâche pas le haut de la feuille des temps depuis la dernière libre de l'après-midi du premier jour. Sandro Cortese a donc trouvé quelque chose sur son Aprilia du team Germany pour dominer l'autre machine italienne gérée par la très espagnole équipe de Jorge Martinez.

Son meilleur chrono d'hier après midi avait été mis un peu trop vite sur le compte des conditions venteuses dont le favori Nico Terol n'avait pas réussi à tirer vraiment partie. Mais ce matin, dans un environnement idéal, Sando Cortese a confirmé de manière éclatante qu'il était bel et bien un solide favori pour ce Grand Prix d'Espagne de la catégorie.

Les conditions venteuses ont perturbé la deuxième séance libre du Grand Prix d'Espagne GP125 mais les rafales ont porté en tête un Sandro Cortese qui ne s'est pas gêné pour souffler la vedette à un Nico Terol plus véloce le matin.

Vainqueur facile au Qatar, Nico Terol a poursuivi sa démonstration lors de la première libre du GP125 dans son Espagne natale. Sur un tracé de Jerez qui lui est familier, il a repoussé son plus proche concurrent à plus d'une demi-seconde. Il est le seul en dessous de la barre des 1'49 au tour.

La Coupe de France Promosport débute ce week-end à Nogaro dans le Gers (32). Les formules les moins couteuses en vitesse débutent donc leurs championnats de 9 épreuves dans le Sud-Ouest. Nous en avions parlé, le monobike disparaît ainsi que la junior Cup faute de concurrents.

Vous le savez maintenant depuis le temps qu'on vous en parle : une formation de 7 heures est obligatoire depuis le début de l'année pour tous les nouveaux conducteurs d'un deux-roues 125 cc.

Les pilotes 125 du championnat de France SBK, après de longs mois d'attente, se sont dégourdis les jambes dimanche sur le Bugatti, comme leurs « ainés », les 600 et 1000. Le vice-champion 2010, Kevin Szalai n'a pas chômé, à peine descendu de sa 600 en trophée Pirelli, il enfourche sa 125 pour prendre le meilleur temps des premiers essais.