Équiper sa Kawasaki ER-6: test du passage de roue Ermax, l'heure du bilan après 1 an de test[2/2].
Souvenez-vous : il y a un peu plus d'un an, nous avions monté un passage de roue et un garde-boue arrière, tous deux estampillés Ermax, sur un des best-sellers de chez Kawasaki.
Comment ces accessoires ont-ils vieilli ? Quelle a été l'emprise du temps sur ce type de produit ?
Greffés sur une ER-6, les deux éléments Ermax ont passé un hiver, un printemps, un été et un automne avant de nous livrer leurs secrets.
Soit au total plus de 9 500 kilomètres de parcours mixant autoroute, ville et autres départementales de France et de Navarre, sans oublier les lavages correspondants (à haute pression ou non)… la vie d'un motard lambda en somme.
- Kilométrage lors du montage.
- Kilométrage à l'heure du bilan.
L'ÉPREUVE DU TEMPS
L'un des risques de ce type de produit est de voir le vernis s'écailler sous l'effet des différents impacts comme les gravillons et autres projectiles divers et variés. De ce côté-là aucun souci n'a été constaté. Un seul éclat a été relevé sans qu'il ait entrainé le vernis avec lui. Le passage de roue Ermax a gardé sa couleur d'origine et sa jeunesse… sans prendre une seule ride.
Il en sera de même côté entretien. En effet, les différents lavages haute pression n'ont pas laissé de scarification ni de cicatrice sur la peinture monochrome noire (rappelons que notre test a porté sur différents lavages haute pression dans des conditions normales d'utilisation et que ce type de décrassage n'est pas des plus adaptés au deux-roues).
ÉLECTRICITÉ ET RACCORDEMENT
Ici aussi, rien à déclarer, les routes au revêtement plus ou moins nickel n'ont pas eu d'emprise sur les raccordements ou le faisceau électrique. L'éclairage de plaque à LED retenu par le fabricant sudiste ne présente aucun signe de vieillesse, ni d'usure particulière et encore moins de ballotement.
VIBRATION
Nécessitant quelques découpes (pour retrouver l'article sur le montage, cliquez ici) et autres ajustements afin de s'incruster dans la coque arrière de la Kawette, le passage de roue Ermax n'a pas pris de jeu pendant les quelques 9 500 kilomètres de balade sans le moindre resserrage.
Notons que les différents système de fixation ont tenu le coup, sans rouille ni faiblesse visible. Idem pour le support de plaque qui a su se montrer impérial.
Aucun jeu ni déformation n'ont été décelés, et la place à laquelle le mécanicien Dafy-moto a placé l'accessoire en test est celle où nous le retrouvons aujourd'hui…
Seul un clip plastique montre un jeu minimal… mais c'est plus pour trouver un point négatif que pour autre chose !!!
GARDE-BOUE
Là encore, rien à signaler : aucune décrépitude, ni côté couleur ni côté matière, avec un ABS qui reste à sa place sans déformation.
Nous voulons voir si cette imposition a, avec le temps, rayé la partie arrière de la japonaise. RAS, une fois démonté, le garde-boue ne cache aucune griffure. Quant au remontage… il se fait comme au premier jour.
BILAN
Du beau et bon matos qui est sans conteste à l'épreuve du temps, des intempéries et des lavages. Aucun défaut ni aucun vieillissement n'ont été révélés durant un an d'usage normal… et c'est tant mieux car une fois en place, le passage de roue Ermax interdira la remise en configuration d'origine.
CONDITIONS D'ESSAI
- Durée du test: plus d'un an: de novembre 2009 à janvier 2011.
- Moto : Kawasaki ER-6 N de couleur noire.
- Distance parcourue : 9 536 kilomètres.
- Problème rencontré : RAS.
CONTACT LECTEURS
- Ermax au 04 42 73 67 91/92.
PHOTOS
- Flying fifi.
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