La Toyota électrique qui plaît n'est pas une Toyota
Alors que Toyota espère enfin plaire à la clientèle européenne avec des voitures électriques convaincantes, l’un de ses nouveaux modèles fait un joli démarrage à l’autre bout du monde. Mais justement, ce n’est pas vraiment une Toyota…

Les premières années de Toyota en tant que constructeur de voitures électriques ne se passent pas tout à fait comme prévu. Premier véhicule du genre vendu chez nous, le SUV BZ4X lancé en 2022 a connu des problèmes au démarrage et reste très loin des meilleures ventes de la catégorie actuellement, même si son prix a beaucoup baissé notamment en France.
Le constructeur japonais réalise en revanche un excellent démarrage pour un autre nouveau modèle électrique, exclusivement vendu en Chine celui-là : on parle du BZ3X, un véhicule exclusivement conçu pour ce marché qui a enregistré, dès la première heure d’ouverture des commandes dans l’Empire du Milieu, quelque 10 000 commandes ce qui a fait exploser le serveur du site internet comme le rapportent les journalistes de Car News China.
Il ne s’agit pourtant pas d’un modèle conçu en interne par Toyota puisque ce BZ3X reprend tout le châssis et la technologie du GAC Aion V, avec simplement un design et des batteries différents (et une fabrication assurée par GAC en Chine). Il démarre à seulement 109 800 yuans là-bas, soit l’équivalent de 13 972€ grâce aux aides réservées aux voitures électriques produites localement.
En Europe, ça devrait s’améliorer
Chez nous, Toyota espère aussi progresser dans les ventes de ses voitures électriques grâce au BZ4X amélioré et au nouveau C-HR+, nouveau cousin électrique du C-HR hybride.
Rendez-vous prochainement sur Caradisiac pour l’essai de ces deux modèles, histoire de voir si les prestations ont évolué depuis nos premières prises en main du BZ4X.
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