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Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Dans Salons / Salon de Lyon

Manuel Cailliot

Toyota est un habitué du salon lyonnais, et présentera cette année encore une large gamme de modèles. Mais il n'y aura pas seulement des autos d'aujourd'hui. Il y aura aussi une ancienne : la Carina E de la dernière pub "Ma Toyota est fantastique".

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

La marque japonaise ne lésine pas sur les moyens et amènera à Lyon pas moins de 12 modèles, dont 3 utilitaires ! Le public pourra donc découvrir presque toute la gamme, avec un accent particulier mis sur les modèles hybrides, électrifiés ou électriques.

 

La Carina

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Oui oui, vous ne rêvez pas. Et non, Toyota ne ressort pas des cartons le nom pour en faire un tout nouveau modèle. Il s'agit bel et bien ici de la Carina de première génération, lancée en 1970. Ce modèle est l'une des deux stars de la dernière pub de Toyota, qui remet à l'ordre du jour le bien connu slogan "Ma Toyota est fantastique".

On y voit un cinquantenaire fringuant, découvrant au fond d'une grange une Carina poussiéreuse. Et un slogan, historique Direction la station de lavage, où la haute pression en effaçant la poussière, fera apparaître le même slogan mais sur une voiture qui n'a plus rien à voir avec l'ancêtre : un nouveau C-HR...

Eh bien, sur le stand, les deux modèles seront bel et bien présents, faisant le lien entre passé et présent, le slogan servant de trait-d'union, lui qui, selon la marque, n'a pas pris une ride.

 

La Aygo X

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Le plus petit véhicule de Toyota sur notre marché est la Aygo X. Commercialisée en 2021, elle passe actuellement par la case restylage, et à cette occasion, met en avant de très profondes évolutions. Pas tant niveau design, même si la face avant est complètement revue. Mais le profil et l'arrière restent identiques.

À l’intérieur, l'instrumentation passe au 100 % numérique et impose une nouvelle casquette de planche de bord. Mais pour le reste, pas de changement.

Par contre, sous le capot, c'est la révolution, puisque le petit 3 cylindres 72 ch de la première génération, un peu juste au demeurant pour mouvoir l'auto, cède la place à l'ensemble full hybride 116h, en provenance de la Yaris ! On passe donc de 72 à 116 ch, ce qui devrait faire bondir les performances, tout en gardant une consommation très maîtrisée.

Et malgré la greffe de cet ensemble, qui impose des batteries de traction, le volume de coffre est préservé, soit toujours 231 litres, ce qui est petit, mais conforme à ce qu'on trouve dans la catégorie des véhicules de moins de 3,8 m (3,78 m précisément, soit +8 cm par rapport à la "phase 1").

Les prix ne sont pas encore connus, mais ils devraient être en forte augmentation, vu le glissement vers l'hybridation.

La Yaris

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Voici celle que l'on ne présente plus : la citadine Yaris. C'est la meilleure vente de la marque depuis le début de l'année, et elle rentre même dans le top 10 des ventes en France, avec presque autant d'exemplaires vendus que la Peugeot 308 (20 641 contre 20 092). Elle était originellement fabriquée uniquement en France dans le Nord, à l'usine d'Onnaing mais depuis que le Yaris Cross a pris sa place, elle sort maintenant en grande partie de l'usine tchèque de la marque.

Plutôt compacte pour une citadine, elle offre une habitabilité aussi moyenne à l'arrière que son volume de coffre, mais en contrepartie, elle se faufile aisément en ville. Sa motorisation hybride, disponible en deux niveaux de puissance, 116 ch et 130 ch, y est particulièrement efficiente puisqu'on peut rester sous les 4 litres de moyenne, voire 3,5 litres en pratiquant l'éco-conduite.

L'équipement est riche quel que soit le niveau de finition, mais la qualité de finition moyenne. C'est souvent le cas sur les Japonaises, mais avec l'avantage de ne pas se dégrader dans le temps en général.

Les prix (hors promotions actuelles), débutent à 24 600 € en 116 ch Dynamic et montent à 30 950 € en 130 ch GR Sport

 

Le Yaris Cross

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Le Yaris Cross est la seconde meilleure vente de Toyota en France, et est le véhicule le plus produit sur notre territoire depuis 2024. C'est l'émanation SUV de la Yaris, qui corrige son principal défaut, à savoir le volume. En effet, si les places arrière ne sont guère plus spacieuses, à cause d'un empattement identique, le volume de coffre passe, lui, de 286 litres à 397 litres. De quoi être plus serein lors des départs en week-end ou en vacances.

Le look extérieur est évidemment beaucoup plus carré et "SUV" que la Yaris, avec une calandre très verticale, un capot horizontal et situé haut, des protections de carrosserie et une garde au sol bien relevée. Par ailleurs, il reprend presque à l'identique la planche de bord de la Yaris, avec sa qualité moyenne de finition mais un équipement très correct. 

Côté mécanique, il offre comme la Yaris le choix entre un bloc hybride de 116 ch ou 130 ch, mais lui seul offre un choix en 4 roues motrices (uniquement avec le 130 ch), grâce à un petit deuxième moteur sur l'essieu arrière. Les consommations restent contenues sous les 5 litres, voire 4 litres en ville, mais l'autoroute n'est pas sa tasse de thé (7 litres dans ces conditions).

Les tarifs sont évidemment plus élevés que pour la Yaris citadine, avec une entrée de gamme à 28 800 € et 36 900 € pour le haut de gamme 130 ch 4x4. Hors promos là encore.

 

La Corolla Touring Sports

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La Corolla est la compacte de la gamme, et existe en version "Touring Sports", comprenez par-là break. C'est cette déclinaison de carrosserie qui sera présente sur le stand.

Plus long de 28 cm par rapport à la berline, il offre en contrepartie un volume de chargement qui passe de 361 à 596 litres en version 1.8 140 ch, et de 313 à 581 litres en version 2.0 178 ch. Vous remarquerez donc que ce break existe en deux offres de puissance, toutes deux full hybride. La seconde propose des performances consistantes, avec un 0 à 100 en 7,7 s. ! Le 140 ch réalise l'exercice en 9,4 s.

Les consommations sont encore une fois parfaitement maîtrisées, avec la possibilité de rester sous les 5 litres pour le 140 et sous les 5,5 l/100 km pour le 178 ch. Et l'agrément de ces deux blocs hybrides a été grandement amélioré avec le temps, en particulier au niveau de l'effet "moulinette dans la semoule" de la transmission. C'est toujours un peu le cas lors des fortes sollicitations mais c'est très atténué comparé au même système il y a quelques années.

Pour finir la présentation et la finition sont d'un niveau correct. C'est assez sobre certes mais sérieux. Quant à l'équipement, il ne manque rien, même en entrée de gamme.

Les prix sont assez élevés, avec pour ce break une entrée de gamme 140 ch Dynamic à 35 950 € et un haut de gamme 178 ch Collection à 43 350 € (hors promos).

 

Le C-HR

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La première génération avait fait sensation et s'était finalement très bien vendue chez nous, malgré un style assez radical. Rebelote avec la seconde génération, qui se montre évidemment à Lyon.

À mi-chemin entre un SUV urbain et compact, avec ses 4,36 m de long, il propose une habitabilité et un volume de coffre assez moyen (388 litres), un peu sacrifiés sur l'autel du style, qui lui est tout aussi original que pour le premier opus.

La présentation intérieure est moderne, le dernier système multimédia Toyota plus évolué et moins daté, mais l'ambiance reste triste à bord. Heureusement, la finition a progressé.

Sous le capot, une offre assez large, avec un 1.8 140 ch et un 2.0 200 ch 4x2 et un 200 ch 4x4 full hybrides, et un hybride rechargeable de 225 ch. Avec comme pour tous les modèles électrifiés de Toyota, des consommations bien maîtrisées et un agrément en hausse.

Par contre, les tarifs commencent à piquer un peu, avec une entrée de gamme à 35 450 € et un haut de gamme PHEV à 50 400 €.

 

Le C-HR+

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Le C-HR+ est en quelque sorte la version 100 % électrique du C-HR, mais le style est différent, ce n'est pas le même véhicule, ni la même plateforme. D'ailleurs, au-delà d'une carrosserie spécifique, qui est plus "crossover" que SUV, plus longue (4,52 m), de signatures lumineuses distinctes, le C-HR+ propose aussi un habitacle entièrement spécifique, qui se caractérise par des lignes très horizontales, une petite instrumentation pour le conducteur, et un grand écran multimédia de 14 pouces.

L'habitabilité est aussi meilleure que dans le C-HR et le volume de coffre grimpe à 416 litres, ce qui reste moyen pour le gabarit (à comparer aux 397 litres pour 4,19 du Yaris Cross).

Sous le capot, plusieurs propositions. La première avec une batterie d'une capacité (brute) de 57,7 kWh sera disponible en traction avec le moteur électrique de 217 ch. La seconde, avec batterie de 77 kWh, sera disponible en traction et en transmission intégrale (343 ch). Dans sa configuration la plus efficiente (en traction), Toyota annonce un rayon d’action aux environs des 600 km (WLTP). Le C-HR+ dispose de quatre roues motrices. Pour la recharge, ce sera 22 kW en alternatif et 150 kW maximum en courant continu.

Les prix ne sont pas encore connus.

 

Le BZ4X

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Premier modèle 100 % électrique (BZ pour Beyond Zero, soit 0 gramme de CO2) de Toyota, le BZ4X n'a pas connu le moindre succès en France depuis son lancement (mieux en Europe), malgré un tarif fortement revu à la baisse en cours de carrière.

Il revient sous une forme restylée cette année. Et si l'esthétique est revue, avec de nouvelles faces avant et arrière, des signatures lumineuses revues, et un intérieur complètement repensé, accueillant une planche de bord identique à celle du C-HR+, avec son écran de 14 pouces et ses deux chargeurs à induction sur la console centrale.

Techniquement, il évolue aussi, en proposant une seconde batterie plus petite de 57,7 kWh en plus de la 73,1 kWh (573 km d'autonomie pour cette dernière), et il intègre le préconditionnement de celles-ci, et une recharge lente améliorée puisqu'elle monte désormais à 22 kW, pour 150 kW en charge rapide. Et la puissance de la version bi-moteur grimpe à 343 ch.

Les prix de cette version restylée ne sont pas connus encore, mais l'entrée de gamme devrait tourner autour de 45 000 €, comme aujourd'hui (hors remises).

 

Le Rav4 PHEV

Le stand Toyota au salon de Lyon : entre passé et présent, un slogan

Sera aussi présent sur le stand le dernier Rav4 en version hybride rechargeable. Le best-seller mondial de la marque revient avec une sixième génération au style très carré, anguleux et baroudeur. Et dans l'habitacle, c'est pareil, avec des lignes tracées à la règle, et de nouveaux écrans dont un de 12,9 pouces pour le multimédia. Lequel utilise pour la première fois le nouveau système Arene.

Mais les changements les plus importants concernent toutefois l’hybride rechargeable, unique version sur le stand. La cavalerie est légèrement moindre, puisque désormais fixée à 304 ch ou lieu de 306, mais sa capacité à rouler en 100 % électrique est en forte progression. Comme nombre de ses concurrents, Toyota a, en effet, opté pour une batterie de plus grande capacité, 22,7 kWh dans le cas présent. Le constructeur promet ainsi une autonomie électrique de 100 km.

Grosse nouveauté, l’apparition d’une variante traction de ce Rav4 PHEV. Avec un moteur en moins (celui placé sur l’essieu arrière), la puissance tombe à 268 ch… ce qui devrait se montrer plus que suffisant pour un véhicule de cette catégorie. Plus légère, cette inédite version devrait logiquement se montrer moins gourmande et, surtout, moins coûteuse à l’achat.

À noter que tous les Rav4 hybrides rechargeables acceptent désormais une puissance de charge maximale de 50 kW permettant de recharger à 100 % en seulement 30 minutes (3 heures en AC 11 kW).

 

Les utilitaires

En plus des véhicules "civils", qui nous intéressent plus particulièrement ici, Toyota aura sur son stand trois utilitaires. Enfin, trois versions du ProAce : le ProAce Max EV benne, le City EV et le ProAce diesel.

Le ProAce City est l'utilitaire le plus petit de la gamme (4,40 m ou 4,75 m), équivalent à un Citroën Berlingo. Il existe donc en version électrique 330 km d'autonomie (batterie de 50 kWh), avec un moteur de 136 ch.

Le ProAce est l'utilitaire moyen, type Citroën Jumpy, et mesure entre 4,95 m et 5,30 m. Son moteur diesel est un 2.0 D-4D de 140 ou 180 ch (origine Stellantis).

Et le ProAce Max benne est encore plus imposant, avec sa benne ouverte. Il mesure 6,17 m. Et on le découvrira en nouvelle version électrique. Un modèle vraiment réservé aux "pros".

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