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Comme prévu, Nicolas Terol a signé sa quatrième position de pointe en cinq occasions possibles cette saison sur un tracé de Montmélo où il n'a pas vraiment connu d'adversité. De quoi combler Jorge Martinez qui sait qu'un bonheur n'arrive jamais seul puisque Hector Faubel, l'équipier du premier cité, suit.

Si cela continue comme ceci, ce sont bientôt deux secondes d'avance que Nicolas Terol va coller à son plus proche adversaire. L'Espagnol de chez Aspar domine outrageusement cette saison les séances chronométriques du GP125, une emprise qui a tourné à l'humiliation pour le plateau de la spécialité qui n'a pu que constater leur maître de l'année passer sous la barre des 1'52 au tour.

Nico Terol poursuit sa domination en 125 et tout semble déjà en place pour un nouveau succès cette saison. Devant son public, en Catalogne , le pilote Aspar n'a pas fait de détails, même s'il est vrai que la pluie a mis fin au combat contre le chronomètre avant l'échéance.

Les meetings s'enchainent et rien ne change dans le monde du GP125. Alors que la succession a été entrevue côté machine avec la Honda NSF250R promise au prochain Moto 3, dans le domaine des pilotes, Nico Terol attend toujours un sérieux rival cette saison.

Durant le lancement de la RS4 125 qui s'est déroulé dans les environs de Milan (bientôt à l'essai sur Caradisiac Moto), Aprilia a également levé le voile sur le modèle 50 cm3. L'occasion de renouveler son offre sur un marché des 50 à boite de vitesses en baisse.

Comme s'il n'avait pas déjà assez d'ennuis avec des menaces de mort venues d'Espagne à la veille d'un Grand Prix en Catalogne, voilà que Marco Simoncelli découvre qu'il est devenu un nom commun pour qualifier une manoeuvre de dépassement vouée à l'échec.

C'est toujours la pluie qui domine ce second jour de Superbike au Miller Park. La dernière qualification n'a de fait en rien bouleversé l'ordre établi depuis vendredi mais la dernière séance libre avant la Superpole a démontré que l'homme en forme dans ces circonstances était Leon Camier.

Elle était prévue et elle n'a pas manqué le rendez-vous. La pluie s'est invitée en ce second jour du Superbike sur le Miller Park, s'acharnant toute la nuit sur une piste qu'il a fallu nettoyer des coulées de boue le matin.

Max Biaggi est décidément une figure dans le monde de la vitesse moto et sans conteste un cas particulier en Superbike. Son caractère est aussi entier que son talent, ce qui lui a valu un palmarès appréciable mais aussi quelques situations scabreuses, dont celle de s'être fait jeter des Grands Prix.

Monza était le terrain de prédilection affiché par Aprilia, mais les choses n'ont pas exactement tourné comme prévu avec une Yamaha en grande forme pilotée par un Laverty en état de grâce lors de la première manche et une bévue au cours de la seconde qui a forcé Max Biaggi à abandonner une victoire promise pour un rang plus modeste en terme de points.