Le Superbike, cette année, va poser ses roues sous des latitudes stratégiques puisque synonymes d'un marché prometteur pour l'ensemble de la planète moto. Une première d'autant plus appréciée qu'elle devance une Moto GP chérie d'une Dorna certes, depuis, aux commandes, mais qui récupère, en la circonstance, un précieux héritage de feue l'équipe d'Infront.
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Si 2013 sera la saison du statu quo au lendemain de la prise en main des commandes du paddock du Superbike par la Dorna, celui-ci ne devrait pas survivre à l'aube du millésime 2014. Une année qui s'annonce pour le moins comme le vrai début de la nouvelle ère.
Au sortir d'une saison palpitante où le titre ne s'est joué que pour un demi-point à l'issue de l'ultime course, on pourrait se dire que le Superbike jouit d'une santé éclatante qui va à nouveau rayonner en 2013. Et ce d'autant plus que la catégorie compte dans ses rangs six constructeurs, soit le double qu'en Moto GP.
La tradition veut que l'on ait tout le mois de janvier pour fêter la bonne année. Il n'est donc pas encore trop tard. Voici donc les vœux de BMW Malgré un contexte plus que morose, BMW est l'une des marques "Premium" qui réussit à tirer son épingle du jeu.
Si les maxi-trails occupent la place de leader dans la catégorie, les cylindrées inférieures ne sont pas oubliées par Givi. L'italien propose pour l'allemande cubant 800 cc une ligne complète d'accessoires tant pensés pour la protection que pour le voyage et notamment l'arrivée d'une gamme de sabots moteur affichés à 213 euros TTC public que l'on a pu voir à Milan.
BMW s'apprête à fêter 90 ans de flat twin en nous sortant un roadster aux lignes attendues dans le style vintage. Mais les inconditionnels de la marque et du concept se mettent déjà à la page en déclinant à l'échelle 1 la passion de toute une vie.
La K1600 de chez BMW a d'origine des arguments à revendre en matière de confort. Avec cet opus, les Bavarois ont repoussé les frontières du concert GT sur deux roues motorisées, avec la volonté d'une finition aboutie exacerbée par l'adoption d'un noble et dynamique six cylindres.
Comme toujours, ce sont les Etats-Unis qui initient le mouvement. L'ambiance générale de ce marché étant placée sous le signe de la judiciarisation des relations, il vaut mieux y prévenir que guérir.
On n'est pas obligé d'avoir un guidon droit pour faire du stunt. Avec un bracelet et une sportive lambda, ça passe aussi très bien bien, à condition que l'on jouisse d'un certain talent. Du genre de Jorian Ponomareff, un Français bien de chez nous qui s'est imposé dans ce milieu bien particulier et haut en couleur.
A l'image d'un Valentino Rossi, le Texan Colin Edwards a vécu une des pires saisons de sa longue carrière, si ce n'est, même, sa plus calamiteuse. Une onzième position comme seul meilleur résultat, des points récoltés à seulement huit occasions, une vingtième place au championnat, sans oublier une blessure à la clavicule qui l'a obligé au forfait au Mans, sur un de ses circuits préférés.
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