Les bruits selon lesquels Ducati prépare la relève de sa 999 se font de plus en plus insistants de l'autre côté des Alpes. Cette relève serait même du voyage au prochain salon de Cologne. On lui prête déjà le nom de 1 098. Une machine pour garder la main dans le championnat stratégiquement important pour le blason qu'est le mondial Superbike.
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C'est sur le sec que s'est déroulée la seconde manche du mondial Superbike à Assen. Une seconde manche qui s'est conclue par la victoire d'un Bayliss qui efface ainsi son abandon sur chute dans la première partie du meeting.
Après Capirossi en Moto GP et avec la GP7, voilà que Ducati s'assure aussi de son premier pilote dans son autre discipline de prédilection, le Superbike. C'est ainsi que Troy Bayliss, qui, pendant un moment avait pensé à la retraite scindé des lauriers d'un titre mondial 2006 qu'il n'a jamais été aussi près de remporter, a prolongé avec le blason de Bologne jusqu'en 2008.
C'est la rentrée des classes pour le Superbike. Sur le nouveau circuit d'Assen, en terres bataves, personne n'est vraiment rassuré quant aux éléments en ce début du mois de septembre. Et tout le monde redoute l'averse intempestive, de nature à ruiner les efforts de tout un week-end.
Cette fois c'est fait, pour 3,4 millions d'euros et une seule saison. Loris Capirossi restera bien en rouge en 2007, et avec cette perspective de la prochaine saison assurée, le voilà rasséréné pour attaquer un triptyque d'Outre Mer Malaisie-Australie-Japon primordial pour l'attribution du titre.
Si le petit poucet Illmor peut fièrement annoncer qu'il est en mesure d'aligner sept moteurs 800 cm3 de Moto GP, il se devra d'apprécier la puissance d'un ogre de la taille d'un constructeur comme Ducati.
Si, dans la constitution du prochain plateau 2007 en Moto GP, il y a un team qui fait bien parler de lui en ce moment, c'est Pramac D'Antin. La structure qui fait courir les Ducati GP6 n'est pourtant pas ce qui se fait de mieux en matière de vélocité, loin s'en faut, si l'on considère le bilan de cette saison.
Sacrée semaine pour Loris Capirossi. Vendredi dernier il est sur la brèche avec la Desmo GP6. Le dimanche, il la hisse avec autorité sur la plus haute marche du podium du Grand Prix de la République tchèque. Le lundi suivant, il poursuit la mise au point de sa machine, pour mieux sauter sur sa monture de l'an prochain, la GP7.
S'il y a un genre que la mécanique de Bologne n'a que très rarement exploré, c'est bien celui du custom. Certes, il va bientôt se mettre à l'Hypermotard, mais le twin italien a toujours évolué loin des châssis que l'on adule, a contrario, et jusqu'à y exceller, du côté de Milwaukee.
Seize ans et quinze jours après avoir remporté, le 5 août 1990, son premier Grand Prix, Loris Capirossi signait, dimanche passé, sur le circuit de Brno, son deuxième succès de l'année, son cinquième avec Ducati et son septième pour son compte personnel.
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