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Le duel au soleil a toujours cours sur un tracé de Jerez qui accueille le Grand Prix d'Espagne. Cette fois, c'est le local de l'étape qui a pris le dessus sur le dernier vainqueur en date. Comme en GP125, les chronos ont été moins bons que le matin, mais Dani Pedrosa ne s'en est pas laissé compter pour prendre l'ascendant sur Casey Stoner.

Le Qatar avait comblé Kalex au détriment du châssis Suter. Mais à Jerez, le constructeur suisse veut sa revanche. C'est d'ailleurs un compatriote qui se charge de porter la contre-offensive en la personne d'un Thomas Lüthi d'entrée leader du Grand Prix d'Espagne dans la catégorie.

Le duel entre les deux pilotes du HRC Casey Stoner et Dani Pedrosa a repris son cours sur le tracé de Jerez qui livre pour l'entame de ce Grand Prix d'Espagne, le même verdict que celui de son homologue du Qatar. L'Australien reste devant, mais d'un souffle puisque l'Espagnol, qui a dominé la plupart du temps durant cette séance, le suit sous la barre des 1'40 au tour.

Tous les fans de grands prix ont déjà coché les dates du 13 au 15 mai sur leur calendrier depuis belle lurette. Figurez-vous que cette année, une surprise de taille vous-y attend puisque les organisateurs ont décidé d'organiser une course de trois tours pour le moins originale.

Depuis la tragédie vécue par le Japon, Honda n'a jamais été avare en communication sur les conséquences et les dégâts causés par cette catastrophe qui, par ailleurs, est toujours en cours.

« Une nouvelle intervention de la clavicule n'est pas exclue ». Celui qui s'exprime ainsi n'est autre que l'homme qui fait retrouver des couleurs aux pilotes du Moto GP, soit le docteur Mir.

Ce sont franchement des moments difficiles que vit actuellement notre Fabien Foret. Après des débuts en fanfare sur une Honda Ten Kate qu'il a démontré savoir dominer lors des différentes séances d'essai à Phillip Island, il a été victime d'une violente chute lors du warm-up australien.

Avec un tracé de Jerez tout juste sauvé financièrement mais un site de Brno prêt à jeter l'éponge à l'issue de cette saison 2011, les grandes manoeuvres sont en cours au sein de la Dorna pour s'assurer d'un calendrier 2012, et futur, solide.

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Cet adage est en train de se vérifier au sein d'un team LCR qui vit un véritable cauchemar depuis que Randy De Puniet est parti et que Toni Elias est arrivé. Au sujet de la question de savoir qui, des deux protagonistes, allait le plus manquer à l'autre, il semblerait que ce soit le Français qui soit le plus regretté en ce moment.

C'est le retour de Donington au calendrier et pour ce second rendez-vous au calendrier 2011 du Superbike, le tracé anglais s'est refait une beauté, avec, notamment, une partie du circuit baptisée en l'honneur de Carl Fogarty. Ce sont 80 ans d'histoire qui contempleront cette nouvelle génération, et les talentueux locaux voudront sans aucun doute être maîtres chez eux.