233 000 unités vendues en quinze années d'existence, le T-Max est le plus gros succès chez les maxi-scooters et est devenu une référence en termes de conception et de performances. Et en quinze ans, ça en laisse du temps pour le faire évoluer et peaufiner une telle machine.
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C'est une ambiance morose qui règne au sein de Yamaha Motor qui a présenté son bilan des neuf premiers mois de l'année. Le constructeur qui fait aussi dans les équipements nautiques et la robotique en plus des deux roues annonce un bénéfice net quasi-inchangé mais une chute de 7,6% de ses ventes.
Le Salon de Milan n'est plus très loin de son ouverture et les constructeurs nous préparent à leurs nouveautés par le biais du teaser. Yamaha n‘est pas en reste et rappelle qu'à l'EICMA il n'y aura pas que des motos. Il y aura aussi des scooters. Des engins en pleine évolution et à la recherche d'un second souffle comme d'un nouveau public.
Nos confrères Américains ont déjà eu la chance de prendre en main l'une des nouveautés Yamaha 2017 : la SCR950. Présentée à Intermot le mois dernier, elle a fait sensation du haut de son podium et entre de plein fouet dans la vague vintage qui sévit depuis quelques années maintenant et particulièrement chez la firme avec la tendance Faster Sons.
Rossi s'est assuré en Malaisie un statut qui est le sien depuis trois saisons : celui de vice-champion du monde. Second devant Lorenzo d'une course à Sepang remportée par Dovizioso et sa Ducati, il a mené à bon port une Yamaha qui n'a plus gagné depuis la Catalogne le 5 juin.
Depuis le début de cette saison, voir un Lorenzo rouler sous la pluie équivaut à un calvaire. Mais cette fois, en Malaisie, il a été mis en confiance par un enrobé assurant l'adhérence pour se porter sur la première ligne avec le troisième temps. Le tout sur une piste mouillée.
Les qualifications modernes en MotoGP se déroulent en deux temps. Deux violents runs où l'on change de pneus au milieu et où il faut exploser en peu de tours. Pas vraiment la potion du Doctor qui préfère monter en puissance. Justement, cette séance en Malaisie lui a permis de renouer avec l'ancienne méthode.
Cette saison, il n'y a pas eu de saison et Lorenzo est le premier à le déplorer. Il continue à payer au prix fort son aversion pour la pluie qui commence à oxyder sa réputation.
C'est un Rossi cinquième et en tête des troupes Yamaha qui a débuté le Grand Prix de Malaisie de MotoGP. Une position pas si mauvaise mais qui montre encore les limites d'une M1 qui a subi cette saison les évolutions de la Honda, de la Ducati et maintenant de la Suzuki. Des constatations à prendre en compte pour l'avenir.
Si Rossi réussit à s'adapter pour tirer le meilleur de sa Yamaha, l'équipier Lorenzo, lui, subit. Un coup de froid, une averse, et Por Fuera entre dans l'anonymat. Le soleil a eu beau être de la partie ce dimanche à Phillip Island, il n'a pas décongelé le Majorquin qui termine sixième une course déprimante.
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