Parfois, Volkswagen est pris d’un coup de folie raisonnable, ce qui donne des autos telles que la Polo R WRC. Petite sportive la plus puissante de son époque, elle n'existe que pour des raisons d'homologation en course, ce qui lui confère une certaine exclusivité.
La Volkswagen Polo R restylée ne fait pas partie des projets de la marque allemande. En revanche, de nouveaux modèles recevront ce label sportif prochainement. La version la plus musclée de la citadine restera la GTI de 192 chevaux.
Hier, Volkswagen a annoncé une décision en mesure de rassurer les amateurs du championnat du monde des rallyes, le WRC. Le constructeur allemand a annoncé qu’il y serait présent jusqu’en 2019.
Volkswagen doit proposer d'ici l'année prochaine une exécution haute performance de sa petite Polo qui intégrerait alors la lignée des modèles 'R' de la marque. Pour cela, elle reprendrait les éléments techniques qui font le bonheur de la petite Audi S1 qui s'annonce extrêmement performante. Et Teophilus Chin nous propose également sa vision de cette future petite bombe qui pourra revendiquer plus concrètement la filiation avec sa « grande sœur » championne du monde des rallyes WRC.
La Polo R WRC est actuellement l'une des sportives compactes les plus dynamiques. ShifTech en a pourtant profité pour augmenter sa cavalerie avec pas moins de 350 chevaux à la clef.
Ces temps-ci, le championnat du monde des rallyes devient effectivement un moyen pour les constructeurs nouvellement impliqués de mettre en valeur les versions sportives de leurs modèles. Volkswagen en rajoute une couche…
Voilà une nouvelle qui va réjouir les amateurs de WRC ou ceux de la marque Volkswagen. Le constructeur allemand, champion du monde des rallyes en titre, va lancer une Polo R équipée d’une transmission intégrale forte de 250 ch !
MTM est présent à l'Essen Motor Show avec un beau plateau. Le préparateur allemand a dévoilé ses plus récentes préparations utilisant ces bases : Polo R WRC, la nouvelle Audi S3 et la dernière RS6.
Ce n’est sans doute pas en étant resté chez Citroën – dont il fut de toute façon chassé – que Sébastien Ogier aurait pu tester aussi facilement une Audi de DTM.
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