Moto GP - Espagne D.2: Guintoli, dans la galère Ducati
Définitivement, il n'y a que Stoner capable de comprendre le fonctionnement d'une Ducati de Grand Prix. Il ne faut évidemment rien espérer de grave pour le Champion du Monde, mais un jour, s'il arrive à manquer, tout sera dépeuplé à Borgo Panigale. Car ce n'est rien de dire que les autres pilotes connaissent des difficultés sur leur GP8. Et à Jerez, tracé où le blason transalpin connaît autant de difficultés que les gommes Bridgestone, ces problèmes sont encore exacerbés, jusqu'à donner des airs de débâcle.
Marco Melandri se retrouve ainsi tout simplement dernier sur la deuxième machine d'usine, tandis que du côté de chez D'Antin si on évite la cuillère de bois, on n'en mène pas plus large sur la sixième ligne de la grille de départ.
Sylvain Guintoli, dix septième, fait malheureusement partie de cette galère : « On a un peu progressé, mais regardez le classement. Il parle de lui-même. Ce matin, c'était pire. Avec les pneus de qualification j'ai amélioré mes chronos de deux secondes. C'est la seule chose dont on peut se satisfaire. C'est frustrant. Il me faut du temps pour comprendre la moto. Je fais tout mon possible et j'espère que des bons résultats finiront par arriver. »
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