Moto GP - Yamaha: Edwards est un partisan de l'électronique
Si certains de ses collègues, Valentino Rossi en tête, mais aussi Troy Corser, ont exprimé leurs regrets de voir les progrès de l'électronique dénaturer en quelques sortes leur sport en nivelant les valeurs et en donnant un mauvais coup au spectacle sur la piste, lui en, revanche, en est particulièrement satisfait. Mais sur un autre registre. Ainsi, Colin Edwards, du haut de ses 35 ans, et avant d'accueillir son compatriote Ben Spies à ses côtés, de dix ans son cadet, se félicite de l'existence de ces puces savantes qui, pense-t-il, lui ont permis de prolonger sa carrière jusque là:
« Je pensais m'arrêter aux alentours des 32 ou 34 ans. Mes les motos actuelles avec toute leur électronique permettent aux carrières de se prolonger. Vous n'êtes plus cassé de partout comme vous pouviez l'être il y a dix ans. » La « Tornade texane » fait allusion ici aux redoutables 500 qui aimaient à éjecter leur pilote au moindre excès d'optimisme. Le progrès n'a donc pas fait que du mal. Il a aussi préservé la santé de ses acteurs majeurs.
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