Radars de feu rouge : une faille juridique ?

Les procès-verbaux dressés par les radars de feux rouge pourraient-ils être tous annulés ? Cette hypothèse fait suite à un flou juridique concernant la fiabilité des appareils, qui devraient théoriquement être vérifiés une fois par an, tels les radars de vitesse. Prisca Pellerin du côté de l'automobile a mené l'enquête.
Du fait de leur sévérité, les dernières mesures prises par le Ministre Claude Guéant en matière de sécurité routière ont fait couler beaucoup d'encre. Mises en application depuis le début de l'année, celles-ci prévoient notamment un retrait de 6 points et une amende de 1500 euros pour un avertisseur de radars non réactualisé, ou encore 3 points et 135 euros d'amende pour avoir téléphoné au volant.
Ce durcissement des sanctions fait suite à un rapport publié en octobre dernier par la Mission d'information parlementaire relative à la sécurité routière. Mais si notre Ministre de l'Intérieur s'est fortement inspiré du rapport pour mettre à contribution le porte-monnaie déjà bien fragilisé des usagers de la route, Claude Guéant n'a pas pris soin de prendre en compte la proposition n°35 des députés, à savoir celle préconisant « l'évaluation des radars de feux rouges ».
Retrouvez la suite du dossier sur Caradisiac...
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