A la suite de la publication de notre article "Le stationnement des deux-roues sera-t-il payant à Paris dès 2018 ?", nous avons d'abord reçu des précisions de Christophe Najdovski, l'adjoint à la maire de Paris, Anne Hidalgo, en charge des Transports, lesquelles sont à retrouver sur la même page que notre papier. C'est aujourd'hui au tour de la ville de Paris de nous faire parvenir un verbatim, que nous publions ci-dessous. Caradisiac maintient toutefois que la table ronde organisée au salon Parkopolis la semaine dernière donnait vraiment l'impression que le stationnement payant des deux-roues dans la Capitale, même si la décision politique n'est effectivement pas encore prise, pourrait bien devenir une réalité d'ici peu. Pour finir, cette option restera-t-elle définitivement, ou au moins encore de longues années, dans les tiroirs ? L'avenir nous le dira...
« Ré-inventer Paris 2 », voici le nouvel appel à projets lancé par la municipalité parisienne. Le but est d’utiliser les souterrains parisiens inoccupés ou libérés de l’automobile. Une nouvelle phase de la chasse à l’automobile.
Coup d'accélérateur dans le plan vélo d'Anne Hidalgo, qui rêve de voir Paris devenir la capitale mondiale des cyclistes. Les travaux avanceront notamment sur les axes du REVe, un réseau express qui doit être bouclé d'ici 2020.
C’est le miracle parisien, comme un tour de magie, issu tout de même d’un tour de force politique. Mais à la veille d’une inauguration d’un « Parc des Rives de Seine », qui qualifiera ce que l’on identifiait avant comme les berges de Seine, l’annonce est très opportune. Voilà que l’on nous ressert le bien-fondé d’une piétonnisation des voies de la capitale, à l’aune d’un résultat distillé par ses instigateurs : la mairie de Paris.
En compagnie des maires de Londres et Séoul, Anne Hidalgo a annoncé la création d'un système de notation des véhicules en fonction de leur niveau de pollution, mesuré par un organisme indépendant en conditions réelles d'utilisation.
Depuis, le 15 janvier 2017, les voitures âgées et donc non-éligibles à la vignette Crit'Ait sont interdites de circulation en semaine à Paris. Pour autant, les sanctions prévues en cas d'infraction sont-elles réellement mises en oeuvre par les forces de l'ordre? C'est l'objet de notre test.
Tram-bus, pistes cyclables ou encore plan piétons : Anne Hidalgo multiple les annonces depuis le début de l'année. Mais le préfet a fait savoir que rien ne sera validé avant que ne soit établi un bilan de la fermeture des voies sur berges rive droite.
Ce n’est certes pas un lit de roses qu’a dressé la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France pour celles que l’on appelle communément les « pervenches ». En fait, des agents de surveillance de Paris (ASP) chargés de verbaliser les automobilistes ne respectant pas les règles du stationnement. Ceux-ci ne montreraient pas assez d’ardeur à la tâche et ne feraient donc pas rentrer assez d’argent. De quoi provoquer l’ire de l’édile Anne Hidalgo qui promet de privatiser tout ça pour remplir enfin les caisses.
Depuis la fermeture en septembre dernier des voies sur berges à Paris par Anne Hidalgo, les rapports se succèdent pour contester l'efficacité de cette mesure. Dernier en date, celui d’un collège d'experts présidé par le Pr Pierre Carli, médecin-chef du Samu de Paris et président du conseil national de l'urgence hospitalière. Le verdict est une nouvelle fois sans appel : la politique de l’édile parisien est un échec total.
Selon la maire de Paris, le service de voitures électriques en auto-partage n'est pas en déficit. Mais un audit aurait été lancé par la ville pour savoir si Bolloré a présenté à l'origine du projet des chiffres non réalistes.