Toute l'actu Carlos Ghosn

Dans une automobile de plus en plus connectée qui roule doucement mais sûrement vers son autonomie, les enjeux de demain se situent moins dans les parties mécaniques que dans la sphère électronique. L’occasion d’ouvrir de nouvelles voies de développement naguère laissées pour compte. Comme, bientôt, on nous promet que l’on n’aura plus rien à faire une fois embarqué dans sa voiture intelligente, il s’agit de penser à notre confort. Voire même à notre bien-être. Une idée que Renault envisage de pousser jusqu’au paroxysme.

L'affaire Volkswagen a provoqué quelques remous politiques qui ont mené à diverses enquêtes indépendantes. L'une d'elle a trouvé que certaines Renault dépassaient un peu trop la valeur théorique d'émissions d'oxydes d'azote. Carlos Ghosn s'est enfin exprimé sur le sujet et enterre tout malentendu : non, Renault n'est pas à incriminer au même titre que Volkswagen.

L'association écologiste Greenpeace a établi un classement des constructeurs automobiles les plus actifs auprès des institutions européennes. Et le champion du lobbying est Volkswagen, qui en 2014 a dépensé 3,3 millions d'euros pour défendre ses intérêts à Bruxelles.

Ce n’était sans doute pas vraiment le sujet à aborder en ce moment, mais Carlos Ghosn, le patron du groupe automobile Renault-Nissan n’est pas du genre à s’arrêter à ce genre d’opportunité. Lorsqu’il a quelque-chose à dire, il en cause et actuellement, il a de quoi s’exprimer du côté d’Aix-en-Provence, lieu des 15e Rencontres économiques. Après avoir parlé des prochaines évolutions de son cœur de métier qui sera amené à travailler avec de nouveaux acteurs et à réviser nombre de ses certitudes, il a glissé un mot sur les voitures autonomes. En signalant une conséquence inévitable de ce type de locomotion : l’inutilité des taxis.

Le groupe Renault ne se plaint pas de son premier trimestre 2015. Son chiffre d'affaires a ainsi progressé de 13,7% à 9,38 milliards d'euros. Une tendance qui lui permet d'envisager la suite avec enthousiasme. Une hausse des immatriculations, de

Carlos Ghosn est arrivé à la tête de Renault au mois d'avril 2005 en remplacement de Louis Schweitzer. Cela fait donc une décennie qu'il préside aux destinées de la marque au Losange et s'il s'estime satisfait de son bilan, le syndicat CGT Renault a une autre vision de sa présidence, bien différente. Pour marquer cet anniversaire des 10 ans, le syndicat a publié un document intitulé « 2005-2015 : 10 ans de stratégie financière » dans lequel il n'épargne pas Carlos Ghosn.

Carlos Ghosn a donné une interview intéressante à Automotive News dans laquelle il annonce que l'alliance Renault-Nissan vise la troisième place du classement mondial des constructeurs. General Motors avait tout de même 1,4 million de véhicules d'avance l'an dernier, mais le numéro un de l'alliance franco-japonaise est confiant. L'objectif est de passer troisième en 2018.

Il n’est jamais trop tôt même un dimanche matin pour trouver au saut du lit ou au sortir d’une nuit blanche notre revue de presse hebdomadaire, laquelle est surtout la vôtre.

Tout le monde se souvient de l'étonnant Deltawing à moteur Nissan qui fit son apparition aux 24 heures du Mans en 2012 et du Nissan ZEOD RC électrique qui a bouclé un tour du circuit manceau cette année. Beaucoup de monde pense que ces 2 engins ne sont qu'une suite logique d'un même projet mais dans les coulisses, ça sent le souffre. En effet, Don Panoz à l'origine du projet DeltaWing accuse Nissan et Carlos Ghosn d'avoir volé le concept, ce qu'il explique dans une lettre ouverte au patron du constructeur japonais.

Renault, comme bon nombre de constructeurs, travaille sur la voiture autonome. Après avoir dévoilé les premiers travaux sur une Fluence Z.E, voici que Renault présente une Zoe autonome avec au volant, le patron de l'alliance Renault-Nissan.