Laisser traîner ses affaires peut vous mettre dans l’embarras. C’est ce qui arrive à l’acteur Alain Delon dont la vie sulfureuse semblait appartenir à un passé révolu. Mais on a beau dire que l’on est rangé des voitures, celles-ci vous rattrapent lorsqu’elles se retrouvent garées au mauvais endroit. En effet, des voitures immatriculées au nom d'Alain Delon ont été retrouvées au domicile d'une figure du grand banditisme lors d'une perquisition.
Avec son amende payée de 23 milliards de dollars et sa reconnaissance de culpabilité, on aurait pu penser que Volkswagen en avait enfin fini avec son « dieselgate » aux États-Unis. Le règlement des différentes plaintes liées à l’utilisation sur certaines de ses voitures de logiciels destinés à déjouer les tests d’émissions polluantes était lancé. Et ses voitures viciées mais remises aux normes en attente sur un parking depuis 2015 allaient pouvoir être enfin écoulées. Fin de l’histoire ? Non.
Opel y a échappé en début de semaine pendant que Renault était visé dès la semaine passée. Cette fois, c’est Fiat qui va connaître la procédure judiciaire en France. Les conséquences, une fois encore, d’un « dieselgate » commencé par Volkswagen. Et poursuivi par d’autres. Par qui ? C’est justement ce que cherchera à savoir cette information judiciaire ouverte par le parquet de Paris.
Les affres de la garde à vue policière ne sont plus un secret pour l'actrice Elsa Zylberstein qui joue cette fois une dramatique scène de sa propre vie. Celle qui a été récompensée par un César de la meilleure actrice dans un second rôle est cette fois la principale protagoniste d’une affaire de délinquance routière. Les faits reprochés relèvent du délit de fuite, su défaut de permis et de blessures involontaires aggravées.
Utiliser son téléphone portable en conduisant est formellement interdit mais l’usage du même appareil sera de plus en plus répandu lors des contrôles routiers effectués par la gendarmerie. Celle-ci poursuit en effet sa révolution numérique développée depuis 2014 dans un projet baptisé Neogend. 60 000 tablettes et smartphones arrivent pour équiper les gendarmes.
On aurait pu penser qu’après la conclusion d'un accord aux États-Unis, Takata s’était donné les moyens de voir le bout du tunnel dans lequel les défauts de ses airbags l’avaient plongé. Le groupe japonais a ainsi plaidé coupable de fraude, et versera une amende d'un milliard de dollars afin d'échapper à un procès pénal. Mais il semblerait que le chemin soit encore long vers la rédemption puisque c’est le dépôt de bilan qui guette à présent.
Se faire retirer le permis de conduire laisse comme un goût de cendre. La perte du document rose peut aussi faire voir rouge et porter à incandescence une colère qui veut tout consumer sur son passage. C’est ce qui s’est passé du côté du Haut-Rhin, où, ce que l'on appelle pudiquement de jeunes hommes ont monté une expédition punitive après un retrait de permis… Contre la Gendarmerie.
C’est le temps des moissons pour le département de la justice américain. Pour éviter un procès pénal ; ledit département propose un plaidé coupable assorti d’une forte amende pour solde de tout compte. Volkswagen a déjà ouvert son carnet de chèques pour épurer le passif du « dieselgate ». C’est maintenant au tout de l’enseigne Takata de délier les cordons de la bourse pour dégonfler enfin l’affaire de ses airbags meurtriers.
Un gyrophare, les sirènes hurlantes, tout le monde sait ce que cela veut dire et implique : des secours sont en intervention et il faut leur faciliter le passage. Le Code de la Route, dans ces cas-là, est pour mémoire et il appartient aux intervenants d’user de cette prérogative avec discernement et prudence. Mais à Poitiers, il peut en être autrement. Une ambulance en fonction peut ainsi être poursuivie par la Police qui veut la contrôler. Une guerre des gyrophares qui a tout de même failli mal tourner.
Les ressources de la justice sont inépuisables. Tandis qu’au sommet de la pyramide, on apprend que l’on peut être coupable mais sortir pourtant d’une Cour de justice de la république sans encourir la moindre peine, voilà qu’en bas, on peut être condamné sur la base d’une procédure nulle. Ainsi est-ce le cas du côté de Châtellerault à la suite d’une alcoolémie positive au volant.