
La Chine est le premier marché mondial pour l’automobile, et c’est donc une contrée on ne peut plus stratégique pour ceux dont le cœur de métier est d’en vendre. Or, nos deux groupes français y partagent les mêmes déceptions tout en œuvrant avec le même allié local. Une situation pour le moins insatisfaisante qui devra changer d’ici cinq ans.