Depuis les débuts de l’histoire de l’automobile, le pétrole fait figure de référence en matière de carburant. Pourtant, des alternatives existent et sont proposées avec plus ou moins de succès. Ainsi après le GPL, le GNV, les biocarburants ou encore l’électricité, l’hydrogène tente de se faire une place.
Il s'agit de l'une des premières unités de grande échelle de production d'hydrogène au monde pour les transports. Le spécialiste français Air Liquide annonce en effet l'ouverture d'une usine capable de produire 30 tonnes par jour d'hydrogène. Mais ce sera aux Etats-Unis.
Envie de dire adieu aux voitures essence ou diesel, mais l’électricité vous fait peur. Voici une troisième voie plus exotique : le véhicule hydrogène. Essai du Hyundai Nexo.
Les premières livraisons du Mercedes GLC F-Cell de production débuteront fin octobre. En attendant l'arrivée des premiers exemplaires. Voici les informations de la partie technique du SUV premium à hydrogène.
L'industriel français Air Liquide, qui dispose déjà de plusieurs stations d'hydrogène en France, en annonce l'ouverture de deux nouvelles, en Ile-de-France. Le spécialiste de cette énergie confirme aussi s'implanter en Corée du Sud.
La marque à l'étoile Mercedes prépare une gamme complète de véhicules électriques avec le label EQ mais cela n'empêche pas la firme allemande de travailler sur d'autres énergies innovantes. L'hydrogène en fait partie : le constructeur le considère toujours comme une alternative valable pour les autos zéro émission.
C’est une grande première au Mondial ! Jusqu’au 14 octobre se tient à la Concorde le « test drive », un centre d’essai de véhicules verts réunissant pléthore de constructeurs. Caradisiac a participé à l’événement et a recueilli les impressions des conducteurs.
Toyota fait partie de ces constructeurs qui ont misé sur l'hydrogène avec la Mirai. La marque japonaise ne s'arrête pas là puisqu'elle va fournir une technologie de pile à combustible à un fabricant de bus.
Air Liquide, spécialiste français de l'hydrogène (entre autres) vient d'ouvrir une station de traitement de l'énergie électrique un peu particulière au Danemark. Le but ? Récupérer l'énergie qui serait perdue, et la transformer en hydrogène.
Nicolas Hulot n'a pas seulement claqué sa démission, mais aussi un vilain bilan de l'évolution de notre planète. Malgré les discours, les annonces et les COP, la situation empire et notamment nos émissions de CO2. Quand la mer monte, n'est-ce pas le moment de rétrograder ? Ou de couper le contact ?
Lancia Ypsilon : un souffle de renouveau pour le monde automobile
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