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Trois constructeurs japonais rassurent sur l'aluminium Kobe Steel

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L’affaire Kobe Steel suite. On sait depuis la semaine dernière que des cadres et employés de quatre sites de production du groupe japonais Kobe Steel auraient trafiqué les données sur les caractéristiques, notamment les capacités de résistance et de flexibilité, de certains produits pour donner l’impression qu’ils répondaient aux spécifications des clients. De quoi être inquiet sur la qualité des pièces écoulées et d’autant plus que ces dernières se retrouvent en des endroits stratégiques pour la sécurité des engins qui en sont équipés. Pire, l’enseigne se dit incapable de préciser l'impact éventuel en termes de sûreté, se bornant à dire qu'aucun incident n'a été rapporté à ce jour et qu'il travaille sur ce point avec ses clients. Heureusement, ces derniers régissent et communiquent.

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Affaire Kobe Steel : Renault et PSA seraient touchés

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L’affaire Kobe Steel commence à prendre tous les atours d’un scandale majeur, avec des conséquences sur la qualité des produits concernés qui, si elles restent à évaluer, promettent d’être plus que préoccupante. Pour le moment, le groupe japonais se dit incapable de préciser l'impact éventuel en termes de sécurité, se bornant à dire qu'aucun incident n'a été rapporté à ce jour et qu'il travaille sur ce point avec ses clients. Et la liste de ceux-ci s’allonge comme les produits touchés…

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Scandale : il y aurait pire que Takata avec Kobe Steel

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C’est un nouveau scandale qui pointe à l’horizon dans un monde automobile à la réputation déjà bien écornée. Après le logiciel truqueur rendant les moteurs plus vertueux qu’ils ne sont au regard des normes antipollution, après les airbags meurtriers Takata qui succédaient à une affaire de commutateur d’allumage touchant les constructeurs américains, voici l’affaire Kobe Steel. Une histoire qui met à nouveau l’industrie japonaise en porte à faux. Et pas qu’un peu : les entreprises japonaises ont été livrées en produits dont les caractéristiques techniques avaient été falsifiées par le sidérurgiste nippon.

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Électrique : Toshiba promet une recharge en six minutes dès 2019

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Une batterie, ça n’a rien de très sexy. Et pourtant, c’est bien d’elle dont on va de plus en plus parler. C’est aussi elle qui va séduire, attirer toutes les attentions et en faire craquer plus d’un. Car c’est elle qui va permettre aux véhicules électriques de se mouvoir. Sans elles, point de révolution poussant la mécanique thermique à la casse. Un revirement que Toshiba a compris. En présentant sa nouvelle batterie, l’enseigne japonaise se veut incontournable.

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Nissan: rappel de 1,21 million de véhicules au Japon

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On ne sait pas encore très bien de quoi il s’agit, mais c’est du sérieux. Une situation d’autant plus préoccupante qu’elle inquiète au plus haut point jusqu’au président de Nissan, Hiroto Saikawa, qui a carrément reconnu un « problème très grave ». En cause, des inspections de véhicules qui n’ont pas été menées selon les règles exigées sur le marché nippon. Un fait mis à jour par les autorités qui conduisent aussi des vérifications similaires chez les autres constructeurs d'automobiles. Environ 1,21 million de véhicules produits vont être rappelés et l’opération va coûter près de 189 millions d'euros à Nissan.

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Toyota, Mazda et Denso se branchent pour l'électrique

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L’avenir de l’automobile sera électrique ou ne sera pas. Une marche forcée que Carlos Tavares, le patron du groupe PSA, peut notamment regretter. Mais le sort en est jeté et le dernier Salon de Francfort a confirmé une tendance que les annonces politiques exacerbent. Le gouvernement britannique veut mettre fin à la vente de voitures diesel ou essence à partir de 2040, et la France a présenté un plan similaire. La Chine réfléchit de son côté à un calendrier contraignant. Bref, il faut s’insérer dans ce courant de l’électrique, et vite, car personne n’est vraiment prêt. Au Japon, les grandes manœuvres ont commencé.

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Toyota va produire des voitures électriques en Chine

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La Chine est le premier marché mondial pour l’automobile. Mais elle ne veut plus se contenter d’acheter des voitures. Elle veut imposer sa vision de celle-ci et, au vu de ses impératifs, elle a décidé qu’elle serait électrique ou ne serait pas. Une prise de position qui n’a pas fait que des heureux parmi les constructeurs qui élaborent une stratégie pour contrer cette volonté. Enfin, pas tous. Toyota, par exemple, a décidé de relever le gant. Le Japonais promet ainsi de construire bientôt en Chine de voitures électriques.

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Piraté et menacé Honda met en sommeil une usine au Japon

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Vous vous souvenez de l’attaque informatique d’ampleur mondiale qui a sévi le mois dernier ? Quelque 200 000 ordinateurs disséminés dans au moins 150 pays avaient été touchés par une attaque à travers une faille du système d'exploitation Windows, affectant le fonctionnement de nombreuses entreprises et organisations. D’aucuns s’étaient alors un plus aguerris à la notion de rançongiciel. Tout s’est bien fini. Enfin, on l’espère, car chez Honda, ça continue…

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Takata : finalement, ce sera le dépôt de bilan

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Il s’agit de l’épilogue d’un des plus gros scandales de l’industrie automobile. Il était d’ampleur mais son coût était aussi un gouffre. Il a touché une enseigne créée en 1933 et qui détenait 20 % du marché mondial des ceintures et airbags. Il s’agit de Takata dont la famille dirigeante a résisté plus que de raison à son engloutissement. Mais le dépôt de bilan aura bien lieu et dès la fin de ce mois. Ce qui était un des fleurons de l’industrie japonaise va rendre les armes à un équipementier américain contrôlé par un chinois.

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Volkswagen : un responsable arrêté pour possession de drogue

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Être un dirigeant haut placé d’un constructeur allemand à l’étranger, ce n’est pas un métier facile. On peut même se retrouver aux prises avec la justice dudit pays. Pour des raisons diverses. Un comportement personnel, tel un ponte de Mercedes en Chine renvoyé dans ses foyers après une altercation lui ayant arraché des propos ostracisant. Parfois, c’est la faute de leur entreprise même, tel un cadre de Volkswagen arrêté aux États-Unis dans le cadre du « dieselgate ». Mais les mêmes décideurs peuvent avoir de coupables addictions. Ainsi ce responsable de Volkswagen au Japon.

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