
Si le marché auto souffre, c’est presque uniquement le fait des modèles non électrifiés. La preuve avec les statistiques européennes du troisième trimestre.
Si le marché auto souffre, c’est presque uniquement le fait des modèles non électrifiés. La preuve avec les statistiques européennes du troisième trimestre.
La flambée des prix du carburant est LE sujet du moment, et les pouvoirs publics apparaissent bien en peine d’y trouver la parade. Le versement d’un chèque-carburant apparaît comme la moins mauvaise des solutions, mais sa mise en oeuvre est délicate.
Le prix du carburant ne cesse de grimper, et avec lui la grogne des usagers. Cela favorise certes l'essor des motorisations électrifiées, moins gourmandes en carburant, mais plombe dans le même temps le budget de la majorité des automobilistes, pas assez fortunés pour acquérir un véhicule récent et "propre". De quels leviers d'action les pouvoirs publics disposent-ils?
Déjà bien en hausse depuis quelques mois, les prix des carburants pourraient à nouveau flamber, alors que les membres de l'OPEP n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur une augmentation de la production de barils.
A la demande du ministère français des Armées, un think tank français a réalisé une très longue étude sur les réserves de pétrole des principaux fournisseurs de l'UE. La décennie prochaine sera-t-elle celle du déclin ?
Le pétrolier français Total affiche 7,2 milliards d'euros de pertes en 2020. Le géant tricolore devrait changer de nom en 2021.
Ce lundi, le baril de Brent a dépassé la barre des 60 $, une première depuis plus d'un an. Conséquence : les prix des carburants grimpent.
Le secteur du pétrole a fortement plongé en 2020. 3 des plus grands industriels ont vu leur chiffre d'affaires dégringoler, alors que le prix du baril a plus que doublé en quelques mois, et que la demande a chuté.
En septembre dernier, le géant pétrolier BP annonce que le fameux "pic" est actuellement atteint, et que l'on se dirige désormais vers une pente descendante douce de l'or noir. Mais cela pourrait avant tout être la conséquence de la demande, plutôt que de l'offre.
C'est presque officiel: la compagnie pétrolière va opérer le parc de bornes électriques de la ville de Paris, lequel sera amené à croître de 56% dans les quatre ans à venir. Enjeux et décryptage.
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