Une petite vidéo d'escapade pour ce début de week-end. Nous partons en direction de Sydney en Australie où s'est tenue la rencontre annuelle du Throttle Roll. Une rencontre de passionnés de Cafe Racer, de Bobber et autres préparations épurées à leur maximum et surtout un retour aux sources de la moto.
C'est bien connu les campagnes de la Sécurité Routière en France sont jugées bien timorées par rapport à celles de nos voisins européens. Il semble que cela soit également le cas par rapport à celles diffusées au Canada sur internet.
Actuellement, au Musée des Lettres et Manuscrits, situé au 222 du Boulevard St Germain dans le 7ème arrondissement de la ville de Paris, se trouve une exposition temporaire (jusqu'au 15 septembre 2013) consacrée à un personnage que l'on considère aujourd'hui comme l'un des premiers (pour ne pas dire le premier) tueurs en série: le tristement célèbre Henri-Désiré Landru.
Le cadre est original et les acteurs de cette manifestation artistique le sont tout autant. Comme quoi, la moto arrive à fédérer des énergies au point de créer des transversalités en théorie hautement improbables. Comme quoi les rugissements mécaniques peuvent se montrer aussi insondables que le sont les voix du Seigneurs.
Le Président de la Fédération de Russie n'a jamais caché son intérêt pour la moto. Mais celui-ci est du genre « biker », ce qui n'a rien de répréhensible en soi. Vladimir Poutine, puisque c'est de lui qu'il s'agit, s'est affiché avec ses congénères et a roulé avec un sémillant trike Harley-Davidson.
Jorge Lorenzo nous l'a une fois encore démontré, il sait manier la poignée. Celle de la moto s'entend, pour ouvrir les gaz et oublier ses adversaires en les usant tour après tour en leur imposant un rythme effréné. Au Qatar il a fait mordre la poussière du sable de Losail en s'adjugeant de fort belle manière le premier Grand Prix de la saison.
Dans les contrées germanophones, le monde de la moto a trouvé grâce aux yeux des emblèmes BMW et KTM qui continuent de tracer leur chemin dans un marché torturé par une crise économique qui n'en finit plus. Mais par le passé, la moto a titillé quelques grands noms d'Outre-Rhin.
A quelques jours près, on tenait notre poisson d'avril à donner l'angoisse à un team Yamaha Factory qui arrive avec prudence sur le sable du Qatar pour commencer, dès ce week-end, la nouvelle saison 2013 de Moto GP.
En Autriche, il n'y a pas que KTM. Et pour la moto électrique c'est tant mieux. On se souviendra, en effet, que, dans un récent entretien, le patron de Mattighofen qui est aussi, à présent, à titre personnel, le boss de Husqvarna, avait sérieusement remis en cause ce type de machine en flinguant sans ménagement un de ses propres opus : la e-Freeride.
Une moto qui met la gomme, un engin qui coûte bonbon, de quoi se faire sucrer le permis ou encore le missile qui tient la dragée haute à tout ce qui roule, la liste des expressions n'est pas exhaustive. Mais du côté de la Floride, un certain Cristiam Ramos a décidé de les décliner au sens propre.
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