BMW fournit les voitures de sécurité du Moto GP et la mission a été prolongée jusqu'en 2016. Reste que Carmelo Ezpeleta souhaiterait aussi voir la marque sur sa grille de départ qui ne compte pour le moment que dix sept pilotes, lorsque personne n'est blessé.
On s'apprête à faire contre mauvaise fortune bon coeur ce week-end chez Ducati. Les rouges vont débarquer à Jerez avec l'expérience d'un Grand Prix du Qatar qui a révélé la distance qui les sépare des ténors de la catégorie.
« Une nouvelle intervention de la clavicule n'est pas exclue ». Celui qui s'exprime ainsi n'est autre que l'homme qui fait retrouver des couleurs aux pilotes du Moto GP, soit le docteur Mir.
L'un ne s'attendait pas à se retrouver si rapidement sur une Moto GP tandis que l'autre n'envisageait certainement pas d'en descendre aussi vite et, surtout, aussi brutalement. John Hopkins et Alvaro Bautsista connaissent des destins croisés chez une usine Suzuki qui doit jongler avec les impératifs de sa politique de pilote unique, synonymes de précarité et d'improvisation lorsque l'élu se retrouve sur le flanc.
Avec un tracé de Jerez tout juste sauvé financièrement mais un site de Brno prêt à jeter l'éponge à l'issue de cette saison 2011, les grandes manoeuvres sont en cours au sein de la Dorna pour s'assurer d'un calendrier 2012, et futur, solide.
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Cet adage est en train de se vérifier au sein d'un team LCR qui vit un véritable cauchemar depuis que Randy De Puniet est parti et que Toni Elias est arrivé. Au sujet de la question de savoir qui, des deux protagonistes, allait le plus manquer à l'autre, il semblerait que ce soit le Français qui soit le plus regretté en ce moment.
Les circuits ont encore de la ressource, et cela est une bonne nouvelle. Phillip Island et Jerez de la Frontera, pour chacun en ce qui les concerne, se sont ainsi sortis de brillante manière de leurs difficultés.
La saison 2011 commence fort du côté de l'infirmerie Moto GP. Son patient le plus concerné est un Alvaro Bautista qui a d'un coup d'un seul en une unique séance d'essai mis à bas son début de campagne et les affaires d'un constructeur Suzuki pris au piège de son engagement avec une seule moto.
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Cela s'est quasiment passé comme prévu au Qatar, entre Rossi et Ducati. Des débuts timides mais encourageants avec un résultat final modeste néanmoins teinté d'espoir au regard du rythme affiché.
Chez Yamaha, marque aux trois diapasons, on espérait sincèrement tout au plus un podium. Avec un tir groupé dans le top 5. Or ce Grand Prix du Qatar a une fois démontré que la course n'avait décidément rien d'une séance exacte.
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