La semaine prochaine, c'est la rentrée des classes pour tout ce que compte de catégories le monde des Grands Prix. Le Moto GP s'en va tourner en Malaisie du côté de Sepang et les 250 iront s'égayer à Valence avec les 125. La pré saison sera lancée.
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Que l'opérateur ibérique annonce qu'il ne poursuivra plus une aventure en Formule 1 entamée depuis 2004, et voici le jeu des chaises musicales qui se met spontanément en branle. La rumeur enfle et veut que Telefonica ne puisse rester sans programme sportif d'envergure.
La catégorie 250 aurait dû, en cette saison 2007 qui pointe à l'horizon, se passer de représentants tricolores. L'aventure d'un team national n'a pas été, en effet, renouvelée après la montée chez Tech'3 de Guintoli, obligeant Cluzel à trouver refuge auprès de Masbou dans la structure de la FFM en mondial 125.
Le nouveau sociétaire du team Aspar Martinez et pilote en lice pour le titre de la saison à venir pour le compte d'Aprilia, Gabor Talmacsi, en a fini avec son tour d'horloge du côté de Dubaï. Une course d'endurance dans laquelle il était engagé dans une structure hongroise, avec des compatriotes magyars comme équipiers, sur un prototype inédit à moteur de Porsche GT3.
Jusqu'à présent, le team Pramac D'Antin ne semblait être là que pour faire le nombre sur la grille de départ d'un Moto GP somme toute aux effectifs faméliques. Un coup avec Yamaha, sans résultats probants, puis une entrée dans le clan Ducati, avec deux pilotes peu véloces et des gommes Dunlop inadaptés.
Loin des strasses et paillettes d'une huppée station hivernale, le team de Kenny Roberts a dévoilé dans la froideur de son siège de Banbury, Oxfodshire beach, le nouveau jouet avec lequel son fils va s'amuser, cette saison, en Moto GP.
Ca y est, la GP7 existe bel et bien officiellement et a été jeté en pâture, sur la neige immaculée de Madonna Di Campiglio, aux regards avides de tout ce que compte les médias nés au siècle dernier. Drapé d'une étincelante robe baptisée « Red Racing Chrome », elle a scintillé de mille feux et promis de cracher des flammes pour apporter le titre en fin d'année aux troupes de Federico Minoli.
18 années passées dans le monde des Grand Prix, ça peut faire de vous une sorte de dinosaure d'un paddock de plus en plus fréquenté par de jeunes loups affamés. Quand, en plus, votre surnom est Capirex, le raccourci est vite fait, mais pas forcément valorisant.
Au regard du calendrier, il est de plus en plus probable que la future Yamaha de Moto GP, par ailleurs toujours appelée M. 1, devra courir sous ses propres couleurs. Et que l'enseigne aux diapasons puise finalement les quelques dix millions d'euros, envolés en fumée avec le départ de son sponsor cigarettier, dans ses caisses.
Carlos Checa s'est refait une santé sportive dans le milieu du Moto GP après une saison pleine d'à propos effectuée au sein du team Tech'3, avec une M. 1 en Dunlop et sans demander un sou pour service rendu.